Fraîchement nommé président du groupe d’études sur les sectes à
l’Assemblée Nationale, Georges Fenech veut ainsi "poursuivre son combat
vieux de 20 ans contre les dérives sectaires". Et quoi de mieux que
Bugarach, petit village de l’Aude, qui est, selon les rumeurs, voué à
survivre à l’Apocalypse ? "Ma présence à Bugarach se veut à la fois un
appui aux autorités locales, au maire Jean-Pierre Delord, au préfet, qui
ont mis en place des mesures de prévention, au cas où et en même temps
porter un message : dire que le 22 décembre, le combat continuera,
d’autres échéances seront programmées, prévient Georges Fenech.
L’expérience nous a montré qu’au lendemain de la non-réalisation de
l’événement, les adeptes, au lieu de se disperser, se ressoudent
davantage, convaincus que c’est grâce à leurs prières et ils fixent une
nouvelle date. Et ils continueront à faire le commerce de la peur et à
faire des recrues".
Le 21 décembre n’est donc qu’une étape dans le
combat de Georges Fenech. Une bonne mise en bouche avant de dévoiler,
fin janvier, ses ambitions pour les municipales 2014 à Lyon.
Merci à son assistant parlementaire d'être venu le défendre.Le seul...
Signaler Répondreil existe , meme les Lyonnais veulent nous le prendre ,c'est un deputé qui a repris une circonscription au centre et qui bosse 20h par jour c'est pas comme Flamby 35h par semaine ............
Signaler Répondre"va falloir qu'il se trouve de nouvelles pseudo sectes pour exister politiquement"
Signaler Répondrequand ils foutent rien les français gueulent et quand ils se bougent les français se foutent de leur gueule . c 'est bizarre, vous avez dit bizarre comme ..........
Signaler Répondreça sent le" fenec" et surtout l'arnaque à Bugarach
Signaler RépondreC'est pour ce genre de futilités médiatiques que nous payons nos députés ? C'est une blague ? Pas mieux à faire que de s'occuper de la soi disant fin du monde. Le ridicule tuera.
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