A l'appel de l'association des circophiles de France, elles ont demandé à
ce que Baby et Népal, les deux éléphantes du parc de la Tête d'Or,
soient épargnées. Une délégation a été reçue par le chef de cabinet du
préfet Carenco et par le directeur départemental de la protection de la
population. Daniel Rivat, président de l'association Cirquexpo, a pu
participer à cette réunion lors de laquelle il a réclamé "une
contre-expertise médicale qui seule pourra déterminer l'urgence
d'euthanasier ces éléphantes. Sachant que d'autres solutions sont
proposées comme le déplacement de ces éléphantes ou la possibilité de
les soigner donc nous ne comprenons absolument pas cette histoire
d'euthanasie."
Face à cette demande, "le collaborateur du préfet est resté muet. Il dit
que l'euthanasie est une mesure d'urgence mais nous n'avons pas de
réponse sur la contre-expertise. On ne comprend pas pourquoi."
Bonne nouvelle toutefois pour ces amoureux des animaux puisque le
directeur de cabinet a laissé entendre "que tant que la décision du
Conseil d'Etat n'est pas tombée, les éléphants resteront en vie. Ce qui
est déjà un petit sursis. Mais ce n'est pas satisfaisant", conclut
Daniel Rivat.
C'est Gilbert Edelstein, PDG de Pinder et ancien propriétaire des deux
pachydermes soupçonnées d'avoir la tuberculose, qui s'était pourvu en
cassation auprès du Conseil d'Etat. Un pourvoi qui n'a pas d'effet
suspensif sur l'arrêté préfectoral mais l'équipe de Jean-François
Carenco semble disposée à laisser le temps à la justice d'entériner ou
pas leur décision d'euthanasier les deux pensionnaires du parc lyonnais.
l argent pour soigner nos elephantes il a regarder lu i iquand le president italien est venus a lyon pour la bouffe
Signaler Répondrepeur de depence de l argent pour nos elephants et le prefet ila regarde lui ala depence quand le president italien est venu a lyon
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