Son objectif : les convaincre de la soutenir dans son projet d’inscrire Guignol au patrimoine immatériel de l’UNESCO. Et c’est avec le sourire qu’elle est sortie de la réunion. "J’ai vraiment senti un regard très bienveillant de la Ville. Ça va être long, mais je le savais déjà". Les dossiers déposés à l’UNESCO sont nombreux et techniques. "Il ne faut surtout pas se précipiter, avoir des arguments solides pour être sûrs que ça aboutisse", affirme-t-elle. C’est à présent à elle d’essayer de rallier le plus de monde à sa cause, "fédérer les différentes associations, les festivals", avant d’espérer peut-être un levé de rideau devant l’UNESCO.
Dans une ville où la guignolerie est la compétence première de politicards locaux, il y a fort à parier qu'ils vont se mobiliser pour immortaliser les ravages de leurs exploits !
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