Et pour son 30e anniversaire, le SIRHA sera, une fois de plus, riche en événements avec notamment la Coupe du monde de pâtisserie, le concours national des fromagers, le festival de la créativité, l’Open des desserts glacés, le Grand prix de l’innovation SIRHA, le concours du Meilleur Traiteur et surtout le Bocuse d’or : ce trophée récompense, tous les deux ans, les meilleurs cuisiniers du monde. Il sera remis le 30 janvier, après deux jours de compétition autour du turbot et du homard bleu, les thèmes de cette année. 12 186 chefs venants de 130 pays seront présents.
Mais en plus des démonstrations des professionnels, le SIRHA reste avant tout un lieu d’affaires et d’échanges. 2870 exposants et marques en équipements, produits et services pour la restauration et l’hôtellerie seront présents. Plus de 165 000 professionnels sont attendus cette année. En 2011, 600 nouveautés, dont 175 avant-premières internationales, ont été présentées sur le salon.
L’événement est aussi l’occasion de parler gastronomie à l’échelle mondiale avec notamment le SIRHA World Cuisine Summit, sous la présidence d’honneur de Paul Bocuse. Il se déroulera le lundi 28 janvier, dans l’Amphithéâtre de la
Cité du Centre de Congrès de Lyon, et non à Eurexpo, avec plus de 1 000 professionnels. Le SIRHA World Cuisine Summit dévoilera en avant-première les résultats d’un rapport d’étude et de recherches internationales lancées dans le monde entier. L’objectif est de décrypter et de réagir face aux tendances détectées à travers le monde.
Le SIRHA est un des événements majeurs de l’agglomération lyonnaise. Organisé tous les deux ans, il pourrait représenter cette année 150 millions d’euros de retombées économiques sur l’activité lyonnaise, avec par exemple l’hôtellerie, la restauration ou les transports.
Le SIRHA se déroule du 26 au 30 janvier à Eurexpo. La manifestation est réservée aux professionnels. Entrée gratuite sur présentation d’un badge ou d’une carte d’invitation. Sinon, l’entrée sur place est de 75 euros.
C'est certain qu'on mange très bien à Lyon, mais de là à en faire la capitale incontestée de la gastronomie... on mange aussi bien à Tours et à Dijon, et ce depuis toujours (et je ne parle pas des vins)... et oui, ils ont le TGV. Faut sortir un peu.
Signaler Répondrec'est déjà connu:Paris considère Lyon à des" pecnos" qui eux prennent Dijon et autres ville de la même façon=QI égale à l'huitre
Signaler Répondreeuthanasions Tours et Dijon dans la foulée
Signaler RépondreNon mais sérieux ?
Signaler RépondreC'est où Tours et Dijon ?
Ils ont le TGV ?
Que Lyon soit au centre d'un terroir d'exception OK, mais ce n'est pas la seule. Sa légitimité à être la vitrine de l'ensemble de la gastronomie française me parait plus que contestable.
Signaler RépondreRungis, si elle est associée à la capitale dans le cadre du grand Paris, a tous les atouts, et de loin. Maintenant s'il faut faire avec trois villes...
Au fait ....
Signaler RépondreC'est où Tours et Dijon ?
Quand je pense que la Cité de la gastronomie a été descerné à ....
Signaler RépondreRungis, Dijon et Tours !!!
Et tout ça sans aucun projet de financement !!
Ca sent pas du tout la magouille tout ça !
Bravo Rebsamen !
Je pense qu'ils auraient été capable de nommer La Roche sur Yon capitale mondiale de la quenelle lyonnaise !