Une année 2012 "chahutée mais contrastée". Tels étaient les mots de
Jean-Jacques Mathias, président du CECIM, l’observatoire de l’immobilier
neuf à Lyon pour résumer la situation du marché du neuf. "Par rapport aux trois années précédentes, 2012 est une
année en retrait mais avec une forte activité équivalent à celle de 2007", ajoute-il. En effet, au 31 décembre 2012, le nombre de réservations
dans le neuf sur l’agglomération lyonnaise s’élevait à 4730 alors qu’en
2009, 2010 et 2011, 6000 logements neufs ont été vendus.
Parmi les
principaux chiffres à retenir de l’année 2012 : 44% des réservations
dans le neuf sont faites par des acquéreurs utilisateurs qui se penchent
à 44% sur un T3. Les investisseurs privés représentent de leur côté 37%
de ces même réservations dans le neuf, 43% ayant une préférence pour le
T2.
A noter également que l’Est lyonnais est le secteur qui a monté
en 2012. 35% des ventes de l’année ont été faites là bas. "C’est un
secteur très bien placé qui est de mieux en mieux desservi par les
transports en commun et proche des bassins d’emploi", explique
Jean-Jacques Mathias.
Du côté des prix, ils sont restés stables :
4443 euros le m2 sur la ville de Lyon (données du 3e trimestre 2012) et
3748 euros le m2 sur l’agglomération lyonnaise.
En 2013, deux
dispositifs viendront entrer en compte dans le marché du neuf. Il s’agit
du PTZ+ (le prêt à taux zéro) et de la loi Duflot (défiscalisation à
18% du prix de revient du bien immobilier pour les logements neufs). Ces
deux éléments devraient conduire de nouveau à une stabilisation des
prix cette année mais en tout cas pas à une baisse. "Les prix sont
stabilisés et ils ne pourront pas baisser", prévient Jean-Jacques
Mathias. "L’élément qui pourrait avoir éventuellement une incidence sur
les prix pourrait être le moral des ménages avec l’évolution du chômage", conclut-il.
Plus c'est cher et mieux c'est, au moins cela a l'avantage de faire fuir la racaille et les cas sociaux des centres urbains et de pouvoir habiter paisiblement son appartement sans avoir a être emmerder par des toxicos, ivrognes et glandeurs.
Signaler RépondreChez moi les appartements sont cher, comme les charges de copropriétés et les gens sont obligés de se coucher bonheur pour aller bosser et payer leur dettes, il ne vivent pas des allocs.
achetez achetez braves gens!!
Signaler RépondreLes professionnels de l'immobiliers ont tout intérêt à minimiser la baisse des prix, voir à la refuter
Signaler RépondreTout le monde n'est pas de cet avis:
Signaler Répondrehttp://www.sicavonline.fr/index.cfm?action=m_actu&ida=505493-prix-immobiliers-en-baisse-de-5-en-2013-standard-poor-s
logements qui s'adressent surtout pour une clientèle aisée cherchant à défiscaliser (investissement locatifs) ce qui rend le prix du m2 artificiellement trop haut par rapport au marché élargi
Signaler RépondreSi je suis proprio, j'ai acheter il y a 15 ans à l'époque ou les prix étaient ceux du marchés mon appart je l'ai acheter 725.000 Frs pour 100 m2 avec deux salles de bains, une vraie cuisine avec sellier et un séjour de 30m2 qui se prolonge sur une loggia de 10m2 le tout face au Rhône, enfin bref un vrai appart, pas un appart de Schtroumpf avec cuisine dans le séjour et Wc dans la salle de bain.
Signaler RépondreTous cela pour dire qu'il y a encore 15 ans les constructions étaient de qualités et pas forcément cher.
Par contre si tu veut acheter maintenant mon appart il te faudra beaucoup travailler et avoir un gros salaire et pas perdre ton boulot. (ça c'est pour le banquier ou l'huissier)
c'est clair que c'est mieux de balancer 500 ou 600 euros tous les mois dans le vent pour louer un 40m² a un enfoiré sans scrupule.
Signaler Répondretu serais pas proprio des fois toi...?
Bon courage a ceux qui vont investir 375.000 euros dans un
Signaler Répondre80 m2 et payer pendant 25 ans 1500 euros ou plus de crédit par mois.
Fini les voyages et les vacances, vous allez voir les vacances a Lyon au mois d’août c'est sympas par 40° a l'ombre et un taux de pollution record.
Prier tous les soir pour ne pas perdre votre job,
bon courage pour ceux qui souhaitent investir avec moins de 2500 euros/mois de revenus
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