Après six mois de tests menés par la police scientifique d'Ecully, à la
demande du cardinal Barbarin, le crâne de Saint-Irénée a rendu son
verdict : il s'agissait en fait d'une femme ayant vécu au XIe siècle.
Rien à voir donc avec le deuxième évêque de Lyon qui avait officié entre
le IIe et le IIIe siècle.
Selon le Progrès, la "relique" était arrivée chez les carmélites de
Fourvière en 2010 en provenance des archives du Carmel de Clamart.
Le crâne était alors sous scellé, dans une boîte datée d'avant la
Révolution. D'où l'intérêt de Philippe Barbarin de procéder à une
vérification.
Le diocèse n'est toutefois pas déçu selon la Croix. Car le Carmel
détient des fragments d'os normalement authentiques de Saint-Irénée.
Concernant le reste du corps et son emplacement, les voies du Seigneur
restent impénétrables.
Si on lançait une étude d'authenticité sur l'ensemble des reliques chrétiennes, la grande majorité seraient fausses. Mais peu importe les morts, tant que la foi est vivante...
Signaler Répondreune femme ????
Signaler Répondrequelle horreur
c'était pourtant un crâne humain non ?
mais il y a l'homme et la femme, ce sont donc deux genres différents, je croyais que depuis le mariage ppour tous, on ne distinguait plus les sexes ....
Les voies oui mais ... le reste ?
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