Cela commence à faire beaucoup pour le sénateur-maire de Lyon. Après
avoir choqué l’opinion, droite et gauche, avec sa sortie sur la
situation extrêmement difficile de Gilles Buna avec ses 3000 euros par
mois, Gérard Collomb aurait récidivé vendredi soir à l’inauguration du
Comédie-Odéon. Ses propos, rapportés par le Progrès et Lyon People, sont
intervenus après l’introduction de Nora Berra par l’animateur Laurent
Argelier. Indiquant que la conseillère municipale était "toujours dans les bons coups",
le journaliste people ne pensait pas ouvrir la boite de Pandore à
Gérard Collomb. Ce dernier s’y engouffra et, plaisantant, rajouta que
Nora Berra en est un, "de bon coup".
L’ancienne secrétaire d’Etat à la Santé est ulcérée, monte sur scène
pour rejoindre la troupe et prend la parole pour fustiger l’attitude du
premier magistrat lyonnais.
Plus tard sur Twitter, elle en remettra une couche : "Collomb
vient de dire sur scène que j'étais un bon coup. C'est indigne d'un
homme politique! #maschisme", "Je suis extrêmement choquée par les
propos tenus publiquement par le Sén.-Maire de #Lyon ce soir. Pour moi
mais aussi pour toutes les femmes".
Conscient d’avoir fauté, Gérard Collomb réplique, toujours sur le réseau
social. D’abord en prenant à partie le journaliste politique du
Progrès : "@geoffreymercier Je n'ai
pas tenu ces propos ! J'ai simplement repris les propos d'un animateur à
savoir "toujours dans les bons coups"". Puis en rejetant la faute sur Nora Berra, visiblement trop coincée devant son humour ravageur : "Une belle soirée placée sous le signe de l'humour, malheureusement instrumentalisée par Madame Berra à des fins politiciennes."
L'incident est révélateur. Ce n'est pas la première fois que Gérard
Collomb dénigre ses adversaires comme ses partenaires. Nathalie
Perrin-Gilbert (toujours au PS) rappelle sur Twitter un incident qui
avait conduit Michel Havard à réclamer des excuses de la part du maire
en plein conseil municipal. Ce dernier avait coupé la parole à Laurence
Balas en se moquant d'un narquois "Elle est mignonne".
La comparaison avec Georges Frêche est sur toutes les lèvres depuis
plusieurs mois, elle ressurgit samedi matin. Gérard Collomb, comme le
faisait son défunt ami, pense régner en maître sur son domaine et
surtout dit "merde" à tous ceux qui l'empêchent d'accomplir sa tâche
quasi divine.
Si les piques du conseil municipal ne touchaient finalement peu l'opinion publique, ses saillies mal contrôlées lui font du tort auprès de ceux qui compteront le plus en 2014 : les Lyonnais lambdas qui ne s'intéressent guère à la politique locale. Soit la majorité que Collomb pensait avoir déjà convaincu avec son bilan.
Vous en avez, du temps à perdre...
Signaler RépondreScoop !
Signaler RépondreD'après L.A, la soirée a été filmée !
Les images lèveront tout doute sur les faits !
Collomb a un problème avec les femmes qui ne la ferme pas (ex Perrin-Gilbert)
Signaler RépondreCollomb est vraiment à côté de ses pompes, il est grand temps qu'il s'arrête, 2014 c'est la retraite
Signaler RépondreBeaucoup de bruit pour pas grand chose...Gégé est pas bien fin sur ce coup là, mais Berra réagissant en jouant la pucelle effarouchée s'engouffre dans la brêche trop béante.
Signaler RépondreLe plus grotesque des deux est il celui qu'on croît?
Ses propos sont honteux, scandaleux, inadmissible et constituent un délit d'injure publique.
Signaler RépondreReste à savoir si madame Berra aura le courage, de déposer plainte.
C'est en laissant faire, que l'impunité nait et la récidive devient la règle.
gege sauras reelu en 2014 pour mille raisons
Signaler RépondreCe n'est qu'un manipulateur - il doit sans doute avoir très bien étudié les préceptes de BEN ALI dictateur de TUNISIE qu'il cotoyait en "voyaage d'études" juste deux semaines avant son détronement
Signaler RépondreLes 10 stratégies de manipulation des masses
Le linguiste nord-américain Noam Chomsky a élaboré une liste des « Dix Stratégies de Manipulation » à travers les média. Elle détaille l’éventail, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation jusqu’à maintenir le public dans l’ignorance et la médiocrité.
1/ La stratégie de la distraction Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
3/ La stratégie de la dégradation Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4/ La stratégie du différé Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
9/ Remplacer la révolte par la culpabilité Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…
10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux conna
GEGE cherche à être le premier partout ?
Signaler Répondredans un certain classement, il est classé 5ème dans le TOP 10 national des cumulards >>>
http://app1302.askmedia.fr/
15 fonctions dont 3 mandats
avec toutes les indemnités qui vont avec ces 15 fonctions
On comprend pourquoi 3000 euros pour lui c'est être dans la misère ....
grottesque ce mec
La retraite, monsieur Gérard Collomb c'est pour 2014 !!
Signaler RépondreEt sinon occupez vous de remplir InCity qui n'est remplit à ce jour qu'à 50%, la faute à pas de parking, pauvre maire de Lyon !!