Avec Dishonored, jeu mêlant infiltration et FPS, les Lyonnais avaient su
créer une attente insoutenable chez les gamers. Et mieux encore, ces
derniers n'avaient pas été déçus.
Alors que les ventes se sont envolés et que les prix se sont succédés,
Dishonored a garni sa besace d'un nouveau titre mardi soir. En
Angleterre, le jeu lyonnais a été sacré jeu de l'année aux BAFTA. C'est
d'ailleurs sa seule victoire malgré plusieurs nominations mais c'est la
plus importante.
Face à d'autres pépites telles que The Walking Dead ou
Journey, Dishonored marque définitivement le retour de Lyon sur le
devant de la scène vidéo ludique et offre une bouffée d'air frais à la
société dopée aux jeux trop peu personnels.
Mais bien sûr...il ne faut pas tuer la poule aux oeufs d'Or!
Signaler RépondreAux USA, le lobby des armes a le même discours...tout le monde sait que les armes s'est fait pour ce défendre...et les jeux video pour jouer....le problème c'est que sur internet on voit des video qui ont le même contenus que les jeux...sauf qu'il s'agit de vrai humains!
Avec ce genre de commentaire, c'est un peu retour vers le futur.
Signaler RépondreDans les années 70, c'était les films violents qu'on incriminaient et rendaient responsables de la violence.
Là, ce sont les jeux vidéos?
Sauf que le bon sens et les études montrent bien que cela est faux.
http://www.jeuxvideo.com/articles/0001/00016912-dishonored-preview.htm
Signaler Répondre"Décapitations et jets multiples de sang s’avèrent au programme de la méthode « bourrine » pour accomplir cette même mission. La manière de jouer est ici on ne peut plus simple : on peut choisir de tuer tout le monde ! A l’aide d’une épée mais aussi d’un gros revolver et de quelques grenades (idéales pour exploser les portes derrière lesquelles se cachent les Pendleton), inutile de préciser que le carnage est aussi total que jouissif. Embrocher les ennemis, leur trancher la gorge, les défenestrer ou encore les exploser « littéralement » : voilà tout ce que le joueur est capable de faire. Gare néanmoins à ne pas surestimer vos forces car, mine de rien et malgré votre quasi-omnipotence, certains adversaires s’avèrent particulièrement coriaces. Heureusement, il est possible de combiner vos pouvoirs à l’envi, comme faire un double-saut suivi d’une téléportation pour aller encore plus loin. Ou encore arrêter le temps au moment où un ennemi vous tire dessus, puis prendre possession de son corps et le placer devant sa propre balle. Jouissif ! Au final, Dishonored semble promettre une aventure exceptionnelle qui bénéficie d’un univers étonnant et de partis pris courageux, comme une esthétique très originale ou encore l’absence de multi pour mieux se focaliser sur l’expérience en solo..."
http://www.jeuxvideo.com/articles/0001/00016912-dishonored-preview.htm
En effet, il ya de quoi être fier pour l'energie dépensée et les millions que ce jeu va rapporter!
Cela en dit long sur ce qui est valorisé dans notre monde!
Et après on s'étonnera qu'il y ait des Merah ou d'autres fous furieux dans la nature!
On ne la peut-être pas dit que la vie ce n'était pas un jeu!
Dans la vie les morts ne se relèvent pas!
Ou alors à la fin des temps...
clap clap!
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