Leader, le Paris-Saint-Germain possède, ce dimanche, cinq points
d’avance et un match en plus sur l’Olympique Lyonnais, 2e, qui avait
raté, il y a huit jours, l’opportunité de revenir à égalité en tête
(moins la différence de buts + 21 contre + 33) sur les Parisiens après
avoir concédé le nul sur le sable de Brest (1-1).
Cette fois, mieux
vaudrait ne pas manquer l’occasion de gagner dans l’éventuelle
perspective de jouer le titre pour rester à distance en sachant que le
PSG viendra à Gerland à la 36ème journée tout comme Saint-Etienne (34ème
journée) même si ce n’est pas une garantie de succès comme on l’a vu
contre Lille (1-3).
Pour le podium et la qualification directe pour
la Champion’s league, une défaite et Marseille, 3e, reviendrait à
égalité (moins la différence de buts favorable à Lyon + 2 contre +21) et
donnerait encore plus d’encouragements, s’ils en avaient besoin, aux
poursuivants que sont notamment l’ASSE, qui ne perd plus depuis 2013, ou
Lille qui n’arrête plus de gagner.
Les données de cet Olympico sont donc là à dix journées de la fin.
Pour
Lyon comme pour Marseille, se qualifier de nouveau pour la Champion’s
league revêt un caractère crucial au niveau financier.
Pour la
rencontre en elle-même, l’OL va bénéficier du retour de Maxime Gonalons
dans l’entrejeu ou sa présence est fondamentale dans la récupération et
la qualité des passes au sein d’un secteur du milieu de terrain sans
doute déterminant.
En attaque, l’Olympique Lyonnais attend un regain
d’efficacité de la part de ses deux buteurs patentés, Bafé Gomis, qui
avait manqué la balle de match à Brest dans le temps additionnel, et
Lisandro lequel est toutefois impliqué sur l’égalisation en Bretagne.
Pour
Rémi Garde, qui estime que les joueurs capables de faire la différence "peuvent la refaire à tous moments", le match est "très important mais
pas décisif".
Par ailleurs, en terme de spectacle, les OL-OM à
Gerland ont souvent donné lieu à des matches spectaculaires comme le 5-5
en 2010 et si l’on veut remonter dans l’histoire, un 4-4 en 1972-1973
et un 3-3 la saison précédente.
Marseille a rarement gagné à Lyon (6
victoires pour 18 défaites et 18 nuls) alors que l’OL a gagné 10 fois au
Vélodrome pour 14 nuls et 19 défaites depuis 1951, année de la première
saison du club lyonnais en D1.
Enfin, pour les superstitieux, l’OL
n’a jamais perdu avec Clément Turpin au sifflet. Depuis 2008, il a
arbitré l’Olympique Lyonnais six fois et notamment à l’aller gagné 4-1
le 28 novembre.
Et pif, tu crois que les verts arrivent à battre l'OL sur leur terrain ahahahahah laisse moi rigoler!!! Même à 10 contre 11 alors que vous êtes soit disant en forme vous perdez. J'adore ce match aller !!
Signaler Répondrepaf de quoi ? les pieds nickelés n'arrivent même pas à battre les phocéens sur leur propre terrain ....
Signaler Répondrevive les verts et en avant !
Allez Garis
Signaler RépondreTiens, revoilà nos verdâtres préférés, qui retrouvent suffisamment de couleurs en ce moment pour venir nous chambrer sur l'Olympico !
Signaler RépondreProfitez-en les stéphanois car dès le prochain derby, vous recouvrerez votre déprime habituelle et verrez vos rêves s'éloigner !!
En effet, après chaque taule reçu contre l'OL vous pleurnichez comme des p'tits canouts que vous êtes et vous lâchez en championnat, hi, hi hi !
du courage les marseillais, vous allez gagner
Signaler RépondreALLEZ LOL
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