Ils ont du emprunter les tunnels pour sortir. L'évacuation s'est passée
sans problème.
Les TCL parlent d'un incident technique, une des rames a en fait disparu
sur les écrans de contrôle, entre Saxe-Gambetta et Guillotière. Les
autres rames se sont alors arrêtées par sécurité.
Une trentaine de bus a
été mise en place pour palier l'arrêt du métro, la circulation a repris
dans la soirée. C'est la 4e panne de ce genre qui touche le métro D
depuis le mois de décembre.
Ben c'est plutôt rassurant, non, que la machine soit incapable de remplacer parfaitement l'être humain ??!!
Signaler RépondrePour info : j'ai pris la ligne D hier vers 17h30 et le métro roulait au ralenti depuis Bellecour, à un moment il s'est même arrêté quelques instants sous le tunnel et une drôle d'alarme a retenti dans la rame, puis il a redémarré en se traînant jusqu'à la station Gorge de Loup où j'avais prévu de descendre, ouf !
mdr vous me faite bein rire les gents sérieux. le probleme qu'il y a eu c'est qu'une rame de metro a disparue des fichier imformatique et pour pas qu'il y est d'accident tous le circuit a été couper. mais bon comme d'habitude les la faute des tcl. c'est ni plus ni moin un probleme imformatique mais bon vous y connaissez rien du tous....
Signaler Répondrenon c'est une attaque des sauvageons pour rançonner les usagers, heureusement ils ont eu peur de l'accordéon
Signaler RépondreJe pense moi que c'est un coup du lobby gay du Vatican !
Signaler RépondreQui n'a jamais rêvé du coup de la panne dans les transports (amoureux) en commun ??!
C une honte internationale ! Un coup monté pour qu'on prenne les vélovs !!
Signaler RépondreTCL: Entreprise innovante de l'année ou quand les transports se greffent aux politiques de santé publique.
Signaler RépondreSuite à un vrai problème d'obésité sur la Ligne D, l'entreprise Kéolis en charge du bon fonctionnement des métros lyonnais a eu l'ingénieuse idée de prétexter de problèmes techniques hebdomadaires afin de faire marcher les usagers en manque d'exercice. Bilan: des milliers d'usagers dans les rues à se peler et à se demander pourquoi un métro sans chauffeur pose plus de problèmes qu'un métro avec chauffeur.