Nao est l'un des robots exposés pour cette troisième édition de InnoRobo - LyonMag.com
Le Centre des Congrès grouillait de monde mardi matin. Exposants, politiques, journalistes et photographes n’attendaient qu’une seule personne : Arnaud Montebourg. Celui-ci a vadrouillé à travers les stands du salon qui en est cette année à sa troisième édition. En tant que bon ministre du Redressement Productif mais aussi en tant qu’ambassadeur du made in France, Arnaud Montebourg n’a pas hésité à saluer tous les acteurs de la robotique. "Vous êtes une entreprise française ? Félicitations !", a complimenté le ministre à l’adresse du Centre Robotique Intégrée d’Ile de France qui présentait SAMI, le robot capable d’aider les personnes handicapées ou âgées en perte d’autonomie. Et quand des Coréens passent près de lui, il s’exclame : "Welcome in France !".
Si Arnaud Montebourg accaparaient les caméras lors de la visite, il y en avait d’autres qui étaient sous le feu des projecteurs : les robots. Compagnons d’aide, d’infortune, d’entretien, de ménage mais aussi d’éducation, les robots intègrent de plus en plus la vie quotidienne.
Et cela Arnaud Montebourg veut en faire un point fort en France. "La robotique est la prochaine frontière de la révolution technologique", soulignant que les robots avaient la capacité de relancer la compétitivité du pays ainsi que de créer des emplois. "Il y a des centaines de milliers d'emplois à créer et j'ai bien l'intention qu'on les crée en France", a-t-il assuré ajoutant : "nous souhaitons devenir les leaders de la robotique". Arnaud Montebourg souhaite qu’à l’horizon 2020, la France fasse partie des grandes nations mondiales de la robotique. Pour cela, l’Etat mobilise 100 millions d’euros de fonds publics et privés dans une filière baptisée "France Robot Initiative" qui se traduisent notamment par des aides à la recherche, un plan "Start PME" ou encore la création d’un diplôme d’ingénieur roboticien.
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Tous ces repris de justice acteurs majeurs du Parti Socialiste démontre que la réinsertion judiciaire fonctionne merveilleusement bien.
Signaler RépondreMoi Président ... !
Signaler Répondrehttp://www.minute-hebdo.fr/tout-minute/politique/482-hollande-a-confie-son-image-a-un-repris-de-justice
Kedubomonde ne doit pas avoir d'amis....
Signaler RépondreAh les beaux socialistes que voilà dans le commentaire précédent !
Signaler RépondreEncore un membre de la République socialiste irréprochable, les condamnations deviennent un inventaire à la Prévert.
Signaler RépondreArnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Jérôme Cahuzac - député-maire de Villeneuve-sur-Lot, socialiste, condamné en octobre 2007 par la 31ème chambre correctionnelle du TGI de Paris pour le délit "d'emploi dissimulé d'un étranger sans titre" dans le cadre de l'emploi illégal d'une femme de ménage philippine sans papier de juillet 2003 à novembre 2004 et rémunérée en liquide ! Aucune peine et aucune inscription au casier judiciaire n'étant assortie à la condamnation !
(Voir source pour les sceptiques.)
Harlem Désir - député européen, socialiste, n°2 du PS, condamné le 17 décembre 1998 à 18 de prison avec sursis et 30000 francs d'amende, pour "recel d'abus de biens sociaux" dans l'affaire de son emploi fictif à l'Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants .
Henri Emmanuelli - Député socialiste, président du conseil général des Landes, condamné le 16 décembre 1997 à 18 mois de prison avec sursis et 2 ans de privation de ses droits civiques, pour "complicité de trafic d'influences", dans l'affaire Urba.
Jean-Noel Guérini- sénateur socialiste des Bouches-Du-Rhônes, président du Conseil général des Bouches-Du-Rhônes, mis en examen le 05 mars 2013 pour "détournement de fonds publics".
Déjà mis en examen le 8 septembre 2011 pour " association de malfaiteurs ".
Dominique Strauss-Kahn - ex-Maire socialiste de Sarcelles, ex président de la communauté d'agglomération Val de France, ex conseiller régional d'Ile de France, ex député de Haute Savoie et du Val d'Oise, ex ministre de l'économie, ex directeur du FMI, mis en examen le 26 mars 2012 pour "proxénétisme aggravé en bande organisée".
Christian Bourquin - Sénateur socialiste Tdes Pyrénées Orientales, président du Conseil Régional Langudoc-Roussillon, condamné le 12 janvier 2012 par le TC de Bordeaux pour " favoritisme dans l'attribution de marché public ". Condamné le 1er novembre 2010 par la Cour d'appel d'Aix en Provence à 5000 € d'amende pour "minoration de compte de campagne".
Jean-François Noyes - conseiller général socialiste des Bouches du Rhônes, ancien directeur de cabinet de Jean-Noel Guérini, ancien président de Treize Habitat, bailleur social du CG13, mis en examen le 11 janvier 2012 pour "association de malfaiteurs en vue de trafic d'influence et recel de trafic d'influence".
Lyne Cohen-Solal - socialiste, adjointe au maire de Paris, conseillère de Paris. Condamnée le 15 décembre 2011 par la Cour d'appel de Douai au remboursement de 19 654 euros + intérêts à la Communauté urbaine de Lille pour recel d'abus de confiance, avec le bénéfice d'une amnistie au pénal, dans l'affaire de son emploi fictif datant de 1992.
Pierre Mauroy - ex-président socialiste de la communauté urbaine de Lille. Condamnée le 15 décembre 2011 par la Cour d'appel de Douai pour recel d'abus de confiance, avec le bénéfice d'une amnistie au pénal, dans l'affaire de l'emploi fictif de Lyne Cohen-Solal.
Serge Andreoni - sénateur socialiste des Bouches-Du-Rhônes, maire de Berre-l'Etang, mis en examen le 17 octobre 2011 pour "complicité de trafic d'influence dans une affaire de marché public présumé frauduleux".
Bernard Granié socialiste, adjoint au maire de Fos-sur-Mer, président du syndicat d'agglomération nouvelle Ouest-Provence, condamné le 7 septembre 2011 par la Cour d'appel d'Aix à 2 ans de prison ferme, 100 000 euros d'amende et 5 ans d'inéligibilité pour "corruption dans le cadre d'un marché public".
Patrick Sève - Maire socialiste de l'Haÿ-les-Roses, vice-président de la communauté d'agglomération du Val de Bièvre, ex-député, ex-conseiller général, mis en examen le 7 septembre 2011 pour "octroi d'avantages injustifiés" et "soustraction de fonds publics".
Robert Navarro - sénateur socialiste de l'Hérault, vice-président du Conseil Régional de Languedoc-Roussillon, mis en examen le 11 décembre 2012, pour "abus de confiance" suite à la plainte de la fédération socialiste de l'Hérault. Une caution de 30 000 euros lui a été demandée.
Florence Lamblin - Maire-adjointe EELV du XIII ème arrondissement de Paris, mise en examen le 12 octobre 2012, pour "blanchiment en bande organisée et association de malfaiteurs" dans le cadre d'une très grosse affaire de blanchiment d'argent de la drogue.
Pascal Buchet - maire socialiste de Fontenay-aux-Roses, condamné le 27 juin 2011 par le TC de Nanterre, à 8000 euros d'amende et 15 000 euros de dommages et intérêts, pour "harcèlement moral" après le suicide de sa directrice de communication. Il a fait appel de ce jugement.
René Teulade - sénateur socialiste de Corrèze, maire d'Argentat, est condamné par le TC de Paris à 18 mois de prison avec sursis et 5 000 euros d'amende pour "abus de confiance" dans le cadre de l'affaire de la Mutuelle de retraite de la fonction publique (MRFP).
Sylvie Andrieux - députée socialiste des Bouches-du-Rhônes, conseillère municipale de Marseille, conseillère de la communauté urbaine de Marseille, ex-vice-présidente du Conseil Régional (démissionnaire) actionnaire de la Socoma. Mise en examen le 8 juillet 2010 pour " complic
Va-t-il automatiser la fermeture des entreprises... vu son palmarès, ces derniers temps. C'est possible!
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