Christophe Geourjon aimerait créer un ascenseur qui relierait le plateau
de la Croix-Rousse au tunnel mode doux, 80 mètres plus bas.
Il
permettrait aux Croix-Roussiens adeptes du vélo de descendre et remonter
la colline sans effort.
C'est "un accès direct et rapide à la rive gauche du Rhône, un accès
direct à l'ensemble de la métropole et cela favorisera une plus grande
fréquentation du futur tunnel", explique Christophe Geourjon.
Le projet du conseiller municipal se heurterait toutefois à un problème
de taille, les nombreuses arêtes qui habitent la colline de la
Croix-Rousse et qui ont déjà donné du fil à retordre aux équipes du
Grand Lyon travaillant sur les deux tubes.
Cette proposition s'intègre toutefois au catalogue dévoilé par
Christophe Geourjon pour 2014. Une version 3.0 sera prochainement
publiée.
ce Monsieur n'est pas à jour.Cette proposition est déjà étudiée
Signaler RépondreRien de nouveau. Lors de l'appel d'offre initial,une proposition dans ce sens avait été faite par le groupement BOUYGUES et avait é té rétorquée par la commission d'appel d'offre pour laisser arriver tranquillement l'offre VINCI 30M€ plus élevée....
Signaler Répondrec'est génial de balancer de bonnes idées une fois que les chantiers sont lancés voire bientôt terminés. On touche là le discrédit total des politiques par rapport à la technique et la gestion de projet, disciplines qui leut sont totalement étrangères.
Signaler RépondreIl est marrant ce gourgeons
Signaler Répondrebien sur, et les arrêtes de poisson, magnifique réseau de souterrains lyonnais sera de nouveau endommagé.
Signaler RépondreA ce propos, il est intéressant de noter que suite à une pétition mise en ligne pour protéger cet aspect de notre patrimoine, une fouille préventive avait fini par être diligentée par les services archéologiques de la ville de lyon avant le démarrage des travaux (diagnostic préventif)
suite à ce diagnostic et lors des consultations publiques préalables à la mise en chantier du second tube du tunnel de la croix rousse, le service d'archéologie lors des consultations préventives datait formellement ces souterrains du 15éme siécle et autorisait donc implicitement la destruction de plusieurs tronçons
Surprise : une fois le deuxième tube terminé, soit plus de deux ans plus tard un article du service d'archéologie de la ville de lyon parait en janvier 2013 dans la très sérieuse revue archéologia, et établi que les datations au carbone 14 effectuée dans ce souterrain permettent sa datation en -250 avant JC.... soit 1750 ans avant ce qui était annoncé.....
bien sur les travaux sont alors terminés et ne risquent plus d'étre retardés par des travaux de préservation de ce patrimoine.....
mais je suis sans doute mauvaise langue, il ne s'agit certainement pas d'une histoire de gros sous et les dataions au carbone 14 ont du mettre plus de deux ans à parvenir aux services concernés.
De Pradel à Colomb, restons dans la tradition lyonnaise de destruction de notre patrimoine par le béton....
N'hésitez pas à me contacter si vous voulez plus de précisions sur mes assertions je peux fournir des copies des rapports originaux du service d'archéologie préventive établissant cette datation vers 1500, quand à l'article de janvier 2013 dans archéologia, il n'est pas dur à trouver....
Bonne idée! Et pourquoi pas un tobogan ?
Signaler Répondre