Le responsable de l'organisation des évènement grands publics chez ASO
Thomas Delpeuch l'a certifié à LyonMag : "l'équipe de Génération Oxygène de Michel
Pakloglou qui organisait l'épreuve sera conservée et participera à
l'organisation des prochaines éditions."
L'organisateur du Marathon de
Paris souhaite garder une accroche locale tout en développant le Run In
Lyon vers l'international. L'objectif principal d'ASO est donc de
redorer le blason de la course lyonnaise et d'y attirer des concurrents
étrangers capables de réaliser des performances sportives notables. Le
groupe compte également profiter de l'attractivité touristique de Lyon
(gastronomie, patrimoine) pour l'incorporer à la course. Le concept de 3
courses avec départs simultanés (marathon, semi-marathon et 10 km) est
conservé, tout comme la marque Run In Lyon même si quelques
modifications devraient être apportées notamment sur le parcours
parcours : "on va chercher, tout en voulant rester au coeur de la ville,
à éviter les zigzags pour permettre aux concurrents d'améliorer leurs
performances", précise Thomas Delpeuch.
Bellecour restera le centre
névralgique de la course mais les "bouchons" de concurrents sont dans le
collimateur d'ASO qui entend les limiter au maximum et améliorer dans
le même temps le confort et le chronométrage des participants avec un
accueil amélioré et des ravitaillements mieux gérés.
Environ 15 000
personnes avaient participé à l'édition 2012, ASO en espère jusqu'à 20
000 en 2013. A titre de comparaison, le marathon de Paris est couru
chaque année par 50 000 courageux.