Ils sont relayés par des personnes anonymes indiquant qu'ils représentent la preuve que Jean-Louis Touraine est mouillé dans le scandale des Offshore Leaks, cette enquête internationale qui épingle des élus et des particuliers sur leurs évasions fiscales.
Ce lundi, un article est même apparu sur le blog Wikistrike. Intitulé "Envoi d'argent de Jean-Louis Tourraine, député PS, dans les paradis fiscaux ?", il reprend ces mêmes documents en anglais dont le charabia médical et économique est idéal pour alimenter la paranoïa des plus fins conspirationnistes.
Interrogé par LyonMag, le député socialiste a tenu à expliquer cette affaire qui, au final, n'en est pas une.
En 2000, en compagnie de Kamel Sanhadji et de deux autres professeurs, Jean-Louis Touraine a développé une thérapie génique du sida. Des travaux salués et publiés dans la revue Aids. "Nous avons ensuite été contactés par des personnes qui nous ont vanté les mérites de prendre un brevet. En Europe, c'était impossible puisque nous avions publié nos travaux. Il restait les Etats-Unis où le dépôt du brevet est possible dans les 365 jours qui suivent.
Or il nous restait très peu de temps. Et comme les cabinets d'avocats américains sont très longs, on nous a conseillé les Bermudes, un endroit régi par le droit américain, explique le premier adjoint de Gérard Collomb. J'ai demandé si c'était respectable, on m'a répondu que oui. Après concertation avec les trois autres professeurs, nous avons précisé que nous ne voulions aucun bénéfice personnel pour le brevet mais plutôt que les bénéfices aillent à la recherche contre le sida".
En 2002 finalement, Jean-Louis Touraine comprend que le brevet ne déboucherait jamais sur un traitement sur l'homme en moins de 10 ans. "Le brevet est devenu discutable, il aurait coûté trop cher pour des retombées médicales moindres. Ni nous, ni les financiers n'avons donné suite et Viraid a été dissoute en octobre 2003 sans qu'il n'y ait eu aucun mouvement financier ou dépôt de brevet".
Dans un souci de transparence, de rigueur suite à l'affaire Cahuzac, le député explique avoir gardé tous les documents retraçant l'épopée de son brevet en plein océan Atlantique.
Lundi 8 Avril 2013 à 18h06
Jean-Louis Touraine et les paradis fiscaux : le député dément les rumeurs de placements aux Bermudes
Jean-Louis Touraine et Kamel Sanhadji - LyonMag
Depuis plusieurs jours, des documents en anglais fleurissent sur Internet.
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touraine
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@Alex
Signaler RépondreBeau travail !
Ah si seulement les journalistes avaient votre curiosité nous serions véritablement informés des dessous de nos dirigeants.
c'est là votre seul argument ?
Signaler Répondre(...suite...)
Signaler Répondreare punishable by fine or imprisonment, or both, under Section 1001 of Title 18 of the United States Code and that such willful false statements may jeopardize the validity of the application or any patent issued thereon.
Les Américains ne badinent pas avec ce genre de chose, et l’omission d’un inventeur constitue un péché mortel.
Réciproquement, en droit français les inventeurs/demandeurs pourraient avoir à fourner certaines explications.
Un résidant français doit, en vertu notamment de l’article L612 CPI, impérativement effectuer le premier dépôt de brevet pour son invention auprès de l’INPI. Voici le résumé des dispositions par un cabinet de mandataires: http://bit.ly/13kWbpp .
Déroger à cette obligation expose le contrevenant aux sanctions définies dans l’article L615-13: http://bit.ly/Z1lhuK .
Ces dispositions sont fort anciennes, et avaient initialement un objectif de défense nationale. La modification de l’article L615-13 CPI postérieure aux faits n’est qu’une adaptation rendue nécessaire par le passage à l’euro.
La demande 10/024329 a été déposée directement à l’USPTO, sans revendiquer la priorité d’un dépôt antérieur français. Je ne sais pas à quand remonte la dernière condamnation au titre de l’art. L615-13, mais j’estime qu’il y a ici matière à discussion.
Il se pose finalement la question de la propriété de l’invention. Les auteurs de l’article étaient affiliés à la Faculté de Médecine de Lyon. L’Université n’avait donc aucun droit dans le travail de ses collaborateurs? Comment s’est effectuée l’acquisition des droits à l’invention par les inventeurs et/ou Viraid et/ou Mymetics? Il devrait exister quelque part une convention écrite, ou un contrat de travail, ou à tout le moins un échange de lettres, réglant ces questions.
En guise de conclusion, les explications de Jean-Louis Touraine ne corroborent pas les faits. Et quid de CEDIC ?
Si Cedic possède bien ces parts chez Mymetcis, le labo de Jean-Louis Touraine est partie prenante au sein d’une société privée cherchant à se positionner pour être “candidat-vaccin” contre le sida, tandis que le député se trouve être lui-même, au sein de l’assemblée nationale, président du groupe d’études sur le sida.
Conflit d'intérêts, dites-vous ?
Selon la chronologie de l’article, un papier a été publié en 2000, et un brevet déposé en 2001.
Signaler RépondrePar contre, si on se fie à la fiche Wikipédia FR consacrée à l’intéressé telle que disponible au moment où j’écris ces lignes, un brevet aurait été déposé « au début 2003?. Une référence bibliographique datée de la fin 2003 est associée à ce passage.
Il n’y a pas de recoupement entre les deux versions. Je me méfie de Wiki. J’ai voulu en avoir le coeur net, et suis allé faire un tour sur Espacenet.
Jean-Louis Touraine est mentionné comme inventeur dans trois familles de brevets répertoriées dans la base de données de l’OEB: http://bit.ly/ZuEnbB
Les deux plus anciennes sont sans intérêt. Elles remontent aux années 1970, dont le déposant était l’Institut National de la Santé.
Le corpus delicti me semble être la demande en tête de la liste, publiée sous le numéro US2003157063, déposée auprès de l’USPTO le 21 décembre 2001 en tant que 10/024329.
On peut en admirer ici le fascicule de publication: http://bit.ly/11DL9LU
La loi américaine offre la faculté de garder l’instruction confidentielle jusqu’à la délivrance à condition que le brevet soit uniquement déposé aux É-U. Cette condition semble satisfaite ici, et la publication pourrait n’être dûe qu’à un oubli des demandeurs. Il est maintenant trop tard pour faire marche arrière.
On trouve dans le dossier 10/024329 la trace d’une deuxième demande, 10/961482, déposée le 12 octobre 2004. Ses pièces ne sont pas publiques, et il s’agirait plutôt d’une « division » de la demande 10/024329 de 2001. Elle visait probablement à permettre de reprendre plus ou moins à zéro une procédure mal engagée. La demande 10/024329 faisait l’objet d’objections sérieuses de la part de l’examinatrice, et fut abandonnée. Il n’y a aucune autre trace de la demande « divisionnaire » 10/961482, presque dix ans après son dépôt, suggérant qu’elle pourrait aussi avoir été refusée ou abandonnée. (Ou alors l’instruction n’en est pas encore terminée, ce que j’estime la moins probable des hypothèses).
Voici le dossier d’instruction de la demande 10/024329, tel que récupéré du système de l’USPTO: http://bit.ly/XTzeLF
(Attention: ce fichier pèse 28Mo. Il est conseillé de le charger et de le consulter hors-ligne).
La lecture du fascicule et du dossier est très intéressante.
La demande a été déposée au nom personnel de Jean-Louis TOURAINE, ainsi que de trois autres inventeurs.
Ceci est normal: selon le droit assez particulier des États-Unis, le demandeur est obligatoirement l’inventeur, qui ensuite cède (« assignment ») dans une seconde étape ses droits à une entité quelconque (par exemple un employeur ou un investisseur). Cette formalité peut être accomplie à n’importe quel moment.
Le nom « Viraid » n’est mentionné qu’une seule fois dans l’ensemble du dossier, en page 405/413, sous la balise 110 du listage de la séquence ADN du gène sCD4. Aucune autre pièce ne suggère de près ou de loin une quelconque cession d’intérêt. La demande est donc instruite au nom personnel des inventeurs, et les Bermudes n’ont rien à strictement rien à voir dans cette histoire. Aucune mention n’est faite non plus d’une société « Mymetics ». L’argument de l’accélération de la procédure en rapport avec la nationalité du demandeur est du pipeau industriel.
On trouve toutefois en page 180/413 une « petition to make special », qui dans le jargon de l’USPTO signifie une requête d’accélération de la procédure. Elle a été déposée au noms des inventeurs/demandeurs, JLT et al., et acceptée (p. 179/413) au motif que l’objet de la demande concerne un traitement du SIDA, un sujet jugé prioritaire.
La référence 83, mentionnée à l’alinéa [0214] sur la page 17/26 du fascicule, est une publication dont l’intéressé est un des auteurs. Selon la base de données du NIH, ce document a été publié 22 décembre 2000, soit presque un an jour pour jour avant le dépôt de la demande 10/024329: http://1.usa.gov/10l0btp . On ne devrait donc pas pouvoir opposer cette divulgation à la demande selon 35 USC 102, ancienne mouture (quoique… je vois deux possibilités, mais je digresse). Ce type de disposition offrant une période de grace n’existe pas en Europe, ni d’ailleurs dans la plupart des pays du monde.
Je ne trouve rien en relation avec une demande qui aurait été déposée en 2003. D’ailleurs, de 2000 à 2003 les inventeurs/déposants auraient eu le temps d’apprendre un truc ou deux, et s’y seraient sans doute pris différemment.
De ce qui précède, je pense que c’est donc la chronologie de l’article de Rue89-Lyon qui est la bonne.
Je note que la demande désigne 4 inventeurs, or l’article comporte 9 auteurs.
Seuls 3 noms se trouvent sur les deux listes: Touraine, Sanhadji, et Mehtali.
Un inventeur nommé Leroy n’appartient pas aux auteurs de l’article.
Les 5 auteurs Grave, Leissner, Rouzioux, Firouzi, et Tardy ne sont mentionnés parmis les inventeurs désignés du brevet.
Si on présume que le sujet de l’article est si intimement lié à celui du brevet déposé, au point de pouvoir compromettre sa délivrance, on est en droit de se demander pourquoi on a délaissé les 5 auteurs. S’ils n’ont rien contribué à l’article (et donc à l’invention), ils n’auraient pas dû être mentionné comme auteurs. Sinon, il aurait fallu les identifier comme inventeurs.
Les quatres inventeurs ont signé la déclaration sous serment suivante, visible en page 285/413 du dossier:
I hereby declare that I have reviewed and understand the contents of this Declaration, and that all statements made herein of my own knowledge are true and that all statements made on information and belief are believed to be true; and further that these statements were made with the knowledge that willful false statements and the like so made ar
Il est injuste que seul Jean-Louis Touraine soit ennuyé.
Signaler RépondreQue les journalistes aillent voir les sociétés et les comptes des Professeurs de médecine de droite.
La presse dévoile.
Signaler RépondreIl nie tout.
La presse ne lâche rien.
Ca sent le scénario cahuzesque... bientôt des révélations ?
Voilà un vrai travail journalistique...
Signaler Répondrehttp://www.rue89lyon.fr/2013/04/18/bermudes-enfer-du-depute-jean-louis-touraine/
On y apprend donc que les explications de Jean-Louis Touraine sont mensongères. Des cabinets d'avocats démentent entre autres les affirmations de Jean-Louis Touraine.
Et cerise sur le gâteau, on apprend :
"...En l’état, si Cedic possède bien ces parts chez Mymetcis, le labo de Jean-Louis Touraine est partie prenante au sein d’une société privée cherchant à se positionner pour être “candidat-vaccin” contre le sida, tandis que le député se trouve être lui-même, au sein de l’assemblée nationale, président du groupe d’études sur le sida..."
ENCORE UN BEAU SCANDALE AU ROYAUME DU PS
J'ai effectivement lu ce livre et les révélations sont effarantes pour les novices de ce milieu, néanmoins, c'est plutôt à charge contre les Professeurs et autres pontes du milieu médical siégeant à l'UMP et non contre Jean-Louis Touraine comme votre commentaire pourrait laisser croire.
Signaler Répondreil nous prend vraiment pour des barges
Signaler Répondremais il est un "frère"
la confrérie maconnique le protège de tous les maux sains et malsains
fut il médecin
Qui a lu "Livre noir des médecins stars" d'Odile Pichon ?
Signaler RépondreAlors quelques extraits qui pourraient permettre de mieux comprendre.
(...) ... cela reste la seule profession du secteur public qui peut cumuler ses missions de santé avec des charges électives (député notamment) en cumulant les rémunérations. (...) Cela étant, les "cumulards" ... citons par exemple Jean-Louis Touraine (PS), député du Rhône. (...) ... certains Professeurs ont bénéficié du soutien appuyé d'un réseau puissant, ou de l'appui de leur père, déjà en place pour être nommé (j'évoque un ou deux cas dans le chapitre "Un statut en or"). On est alors loin de la méritocratie... (...).
La lecture de ce livre aide à la compréhension...
Regardons cette affaire avec recul.
Signaler RépondreQu'avons-nous au final ?
Une tentative de privatisation défiscalisée de profits sur des recherches financées par les contribuables.
Ne suffisait-il pas à Jean-Louis Touraine de reconnaître cette minable tentative mais que pris de remords il a préféré mettre un terme à tout cela avant que les contribuables soient lésés.
Il en sortait grandi et blanchi.
Là dans ses explications alambiquées il ne fait qu'attiser la curiosité des "curieux" et la colère des contribuables en niant les évidences.
Dites à Jean-Louis Touraine que je prends 5 000 euros par mois pour offrir mes conseils en gestion et communication.
L'austérité pour le peuple !
Signaler RépondreLes Bermudes pour les députés !
http://www.pacte-budgetaire.org/avis-de-recherche/article/m-jean-louis-touraine#.UW01V6KPFF8
Au fait que ce soit dans le Progrès, dans Tribune de Lyon, Lyon Capitale ou Lyon Mag on attend toujours les documents promis par Jean-Louis Touraine démontrant ses dires...
Signaler RépondreCette gauche archi-millionnaire qui veut toujours en gagner plus et plus encore... finit par dégoûter tous les français.
Signaler RépondreAvec la PMA et la GPA, c'est encore pour eux des affaires lucratives qui s'annoncent.
Que feront-ils encore de tous ces bénéfices ?
Le plus étrange n'est pas qu'un député ait tenté de se soustraire à la fiscalisation de ses probables bénéfices ou de privatiser des bénéfices issues de ressources publiques mais le plus étrange ait qu'il n'ait jamais été mis en examen ou fait l'objet d'une information judiciaire.
Signaler RépondreQuand des citoyens lambdas sont dans les mêmes situations, les informations judiciaires, les mises en examen, les nominations de juge d'instruction pour enquêter, pleuvent.
A chaque jour son exemple.
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/04/15/des-chefs-d-entreprises-du-batiment-suspectes-d-avoir-blanchi-plusieurs-millions-d-euros
Faut-il continuer à croire en cette République de prétendu Droit ?
A lire pour rire :
Signaler Répondrehttp://www.leprogres.fr/rhone/2013/04/13/jean-louis-touraine-et-kamel-sanhadji-s-expliquent-sur-viraid
(...) Les Bermudes ne sont pas un paradis fiscal (...)
Source Tourainepedia
Source Wikipedia :
Les Bermudes sont un paradis fiscal.... Les Bermudes sont surnommés "la petite Suisse de l'atlantique"....
Rien ne justifie qu'un élu lèse la France!
Signaler RépondreSi il voulait faire du fric, il n'avait qu'à aller vivre aux USA!
Ils osent faire la morale et profitent du système!
Augier mle trésorier d'Hollande, le nouveau propriétaire de "Têtu", Touraine, même combat!
ils adorent les Paradis Fiscaux....mais c'est pas eux c'est d'autres qui ont voulu!
Les hypocrites ça suffit!
Dehors !
Et ce mec veut que les PMA et les GPA soient payés par les travailleurs et remboursées par la Sécu!
Signaler RépondreJe crois que l'heure du grand coup de balai n'est plus loin!
Je viens de lire les explications de Jean-Louis Touraine dans le Progrès du jour, samedi.
Signaler Répondrehttp://www.leprogres.fr/rhone/2013/04/13/jean-louis-touraine-et-kamel-sanhadji-s-expliquent-sur-viraid
Je commence à avoir des doutes.
Et toi ?
En un an, la version de Jean-Louis Touraine a considérablement évolué.
Signaler RépondreCertainement l'effet Hollande qui n'est pas un paradis fiscal.
Pourquoi M. Touraine croit bon devoir insister sur le fait qu'aucun bénéfice personnel n'a été fait.
Signaler RépondreCela ne fait aucun doute.
Ces recherches ont été financées par l'argent public, pourquoi les bénéfices auraient-ils été privés ?
(...) "on nous a conseillé les Bermudes" (...) "nous avons précisé que nous ne voulions aucun bénéfice personnel pour le brevet mais plutôt que les bénéfices aillent à la recherche contre le sida" (...)
Signaler RépondreFaut-il à ce point être aussi naïf pour penser qu'une société dans un paradis fiscal est l'endroit idéal pour reverser les bénéfices dans la recherche contre le sida ?
Allo... Non mais allo quoi... un élu qui n'a pas d'argent, c'est comme un élu qui ne veut pas d'indemnités... quoi !
Signaler RépondreJean-Louis est innocent.
Signaler RépondreUne âme si belle ne peut pas être coupable.
Parfaitement !
Signaler RépondreNe laissons pas la droite et l'extrême droite salir Jean-Louis Touraine.
Apportons-nous lui notre soutien.
http://collectifvigilance-69.overblog.com/jean-louis-touraine-ne-sera-pas-salit-par-l’extrême-droite
Tribune de Lyon vient de révéler les dessous de cette polémique.
Signaler Répondrehttp://www.tribunedelyon.fr/?actualite/politique/38297-polemique-qui-est-le-corbeau-de-l-affaire-touraine-
Ce serait son ex-compagne qui n'a pas supporté d'être plaquée qui serait à l'origine des fuites sur les Bermudes.
Les faits sont bien réels selon le journal mais rien ne permet d'affirmer que Touraine aurait fait des opérations financières qui lui auraient rapportées.
Je ne puis me résoudre à croire aux insinuations qui sont faites en ce moment sur Jean-Louis Touraine.
Signaler RépondreIl est l'un des leaders d'opinion dans toutes les missions humanistes que nous menons depuis des années.
Pro mariage pour tous, pro adoption pour les couples homosexuels, pro PMA, pro GPA, pro euthanasie encadrée, ... il est de tous ces combats.
Intransigeant contre l'extrême-droite, le virus le plus mortel pour l'homme comme il le dit si bien. Là encore il est à nos côtés au sein du collectif de vigilance contre l'extrême droite.
Non, Jean-Louis Touraine n'est pas l'homme que ces journalistes, peu scrupuleux, décrivent, certainement aux ordres de la droite voire de l'extrême droite.
Soutien à Jean-Louis Touraine en ces moments difficiles et à sa femme qui doit en souffrir également.
Très bon. Tu es dans quelle section ?
Signaler RépondreL homme a la Jaguar se fout des pauvres gens comme nous. Je quitte le P.S qui est corrompu
Signaler RépondreAh voilà nous y voilà !!!
Signaler RépondreLa faute à Gérard Collomb !!!
Cela nous aurait étonné.
Et pourquoi pas François Hollande ?
si c'est les yeux dans les yeux comme cahuzac, ça va
Signaler RépondreSylvie reste calme, ne répond pas aux provocations.
Signaler RépondreJean-Louis démontera une à une les insinuations.
Et puis au passage, publier l'article 3 jours après tout le monde pour sortir une telle bouse, c'est pas reluisant.
Signaler RépondreC'est marrant, je viens de lire votre "fabuleuse enquête". Je vois rien de super accablant pour Touraine dans le papier. C'est juste une chiée de blablas incompréhensibles que 87% des lecteurs du Progrès ont du zappé en deux secondes. Je vous suspecte être un journaliste du Progrès pour autant vous (auto?) congratuler
Signaler RépondreGérard Collomb et les écrêtés de Jean-Louis Touraine connaissaient-ils ces activités ?
Signaler RépondreEnquête très bien résumée qui fait froid dans le dos.
Signaler RépondreIl semblerait que dans le contexte actuel toutes les institutions soient touchées par l'évasion fiscale.
Pas un jour sans sa révélation.
TOURAINE en TOURAINE........
Signaler RépondreJ'aimerai que la rédaction censure les messages de soutien du PS sur ce site.
Signaler RépondreUn peu d'objectivité journalistique sur les agissements de Jean-Louis Touraine n'enfreigne pas la présomption d'innocence.
J'aimerai que la rédaction censure les messages de l'UMP sur ce site.
Signaler RépondreUn peu d'objectivité journalistique et respect de la présomption d'innocence. Merci
Plusieurs articles ce jour dans Le Progrès.fr où la journaliste Sophie Majou démonte, pièces à l'appui, les mensonges de Jean-Louis Touraine.
Signaler RépondreSur ce coup, chapeau bas au Progrès qui ne s'est pas contenté de publier in extenso le communiqué de presse du (dé)menti de Jean-Louis Touraine.
Excellente analyse façon décryptage !
Signaler RépondreDommage que des journalistes, aient fait du publie-reportage...
Jusqu'à quand les médias, vont-ils continuer à contribuer a cette mascarade de transparence ?!
Il n'est jamais trop tard si besoin :
Signaler Répondrehttp://www.francetvinfo.fr/evasion-fiscale-petit-guide-pour-regulariser-vos-comptes-caches-a-l-etranger_299449.html
Google Traduction du rapport de gestion de Mymetics :
Signaler Répondre[...] Le conseil d'administration estime en outre que la Société
a besoin d'avoir un accès rapide au cercle restreint des leaders d'opinion mondiaux en matière de VIH-sida si elle veut avoir ses idées, le travail et les résultats des pairs reconnu et accepté de se qualifier pour les subventions et autres dons. [...]
Mais on n'attire pas les abeilles avec du vinaigre, ainsi : [...]
En Avril 2004, nous avons émis à CEDIC, un organisme sans but lucratif fondation française dirigé par le professeur Touraine, 120.000 actions de règlement d'un différend qui avait surgi au cours du mandat de gestion précédent. [...]
La nomination de Jean-Louis Touraine pour évaluer la contribution française au Fonds mondial de lutte contre le Sida fait-elle partie de la moralisation de la vie publique ?
Signaler RépondreL'éthique aurait pourtant imposé que M. Touraine refuse cette nomination.
Est-ce "respectable", comme le dit Jean-Louis Touraine, de tenter de vendre en son nom propre à une société offshore "Viraid Ltd" aux Bermudes un dépôt de recherches médicales financées par les contribuables dans un paradis fiscal ?
Signaler RépondreChacun son opinion...
Le fin du fin, c'est en août 2012.
Signaler RépondreJean-Louis Touraine en tant que député qui questionne le Ministre du Budget, M. Cahuzac.
Jean-Louis Touraine explique le mécanisme de sociétés écrans basées dans les paradis fiscaux qui pratique le carroussel de TVA.
Jean-Louis Touraine et Jérôme Cahuzac.
http://www.nosdeputes.fr/14/question/QE/2946
Lequel est le plus compétent ?
J'ai relu plusieurs fois le démenti de Jean-Louis Touraine.
Signaler RépondreJ'ai noté que des commentateurs attentifs ont relevé l'étrange affirmation de Monsieur Touraine que de devoir aller déposer un brevet dans un paradis fiscal.
Il affirme également qu'il souhaitait que les bénéfices aillent à la recherche contre le sida.
Pourquoi alors a-t-il enregistré en son nom propre des recherches financées par la Collectivité et toujours au surplus dans un paradis fiscal ?
Dans la phrase suivante, il affirme que cela aurait coûté trop cher pour des retombées médicales moindres ???
Pourquoi alors avoir cherché à déposer un brevet pour des retombées médicales moindres et dans le même temps préciser qu'il ne voulait aucun bénéfice personnel de retombées moindres ?
N'est-ce pas incohérent que tout ce démenti ?
Enfin le document anglais en question n'affirme pas que M. Touraine souhaitait déposer un brevet, mais qu'il a cédé un brevet à une société Viraid Ltd enregistrée aux Bermudes. C'est tout de même très différent !
Il y en a qui ne suive pas.
Signaler RépondreIl n'a pas caché son fric comme vous dites.
Il a été contraint par la loi sur les brevets d'enregistrer ses recherches financées par la Collectivité dans des paradis fiscaux à son nom.
Faut suivre ce que dit Jean-Louis Touraine.
"hein... quoi... il vous prend pour un idiot ?"
ah bon !!!!
Aurait-il vaincu le Sida, cela ne l'autorise pas pour autant à tricher et à planquer son fric. Heureusement qu'il y a des contre pouvoirs, comme les médias!
Signaler RépondreLe vrai scandale c'est qu'à l'époque la France n'a même pas su investir pour soutenir les travaux Ô combien remarquables de Monsieur Touraine et les avancées inestimables pour le sida et autres maladies génétiques...
Signaler RépondreVoilà pourquoi les cerveaux fichent le camp de notre pays des "Lumières"!!