En effet 30 à 40 cas de dengue et de chikungunya sont recensés chaque année dans la région Rhône-Alpes.
L'homme,
qui réside à la Croix-Rousse, n'est même pas hospitalisé. La dengue se
soigne bien, le malade est donc chez lui, suivi par son médecin
traitant.
L'Entente interdépartementale pour la démoustication a tout de même posé
des pièges pondoirs aux alentours de son habitation. Les moustiques
viennent pondre dans ces petits sauts, déposés dans des endroits
stratégiques. Ces pièges permettent de connaître les espèces présentes
dans le secteur. Mis en place mercredi, ils seront relevés dans quelques
jours pour permettre les analyses.
L'ARS veut en revanche délivrer un message de prudence aux personnes qui voyageraient dans des pays où la maladie est présente. "Nous voulons éviter que la maladie ne s'installe en France".
Le risque est que le porteur de la dengue soit à nouveau piqué en
France par un moustique sain. L'insecte pourrait ensuite contaminer une
personne. "Ce serait alors le premier cas autochtone en Rhône-Alpes et c'est ça que nous voulons éviter".
Un
risque d'autant plus élevé qu'il y a régulièrement des cas de dengue
importés et que les moustiques-tigres sont en nombre dans le
département. Le Rhône a récemment été classé en niveau 1, ce qui
signifie que les moustiques sont déclarés implantés sur le territoire.
L'agence régionale de santé conseille donc aux futurs voyageurs
de se protéger au maximum, en cas de déplacement dans des pays à risque.
Avec l'arrivée des beaux jours, les lyonnais sont aussi invités à faire
la chasse aux eaux stagnantes propices au développement des moustiques.
ahahah hohoho mais il a mangé du clown ce bon vieux voireuil :))
Signaler RépondreUn seul... je crois qu'il y avait plusieurs cas de dingues à Lyon
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