Jean-Jack Queyranne, président socialiste de la Région, ainsi que des élus PS-EELV-Front de gauche et Radical de gauche, ont attaqué les prises de positions extrémistes d'Alexandre Gabriac. L'élu isérois a beaucoup appelé ces dernières semaines à "abattre la République".
S'il ne compte plus de soutien public au Front National, le leader des Jeunesses Nationalistes peut toutefois compter sur la faconde de Bruno Gollnisch. L'élu régional frontiste, lui aussi adepte des opérations coups-de-poing, s'est fendu d'un communiqué où il dénonce "les délations" de Jean-Jack Queyranne : "Sous prétexte de condamner les actions du jeune Gabriac, qui cependant ne concernent en rien son comportement dans l’Assemblée Régionale, les groupes de Gauche et d’extrême Gauche, dans une déclaration "solennelle", mais surtout grandiloquente, ont chanté la chanson éculée de la République en danger, du péril fasciste, etc…
Le Président socialiste Jean-Jack Queyranne s’est hélas prêté à ce petit jeu ridicule et insignifiant, s’engageant notamment à dénoncer les coupables au ministre de l’intérieur.
Ces réflexes de délations sont détestables. On attend la même et vertueuse indignation quand les casseurs de la CGT saccageront des préfectures, quand les bandes ethniques de voyous incendient les voitures, pillent les magasins, agressent les touristes, quand les extrémistes islamiques tentent d’égorger des militaires, etc. On attendra longtemps…"
Il faisait allusion au "petit ridicule" gabriac ?
Signaler Répondrequ en est il de la subvention pour l Islam alors que ce sont nos impots juste pour ne pas qu ils bougent trop honte
Signaler Répondreceux qui saccagent les préfectures en toute impunité c'est les paysans de la FNSEA.....largement subventioné par la CEE
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