Rhône : mise en examen de la directrice d'un établissement privé de Brindas

Rhône : mise en examen de la directrice d'un établissement privé de Brindas

Jeudi les gendarmes avait interpellé cette femme de 66 ans ; elle avait ensuite été placé en garde à vue et entendue dans le cadre d'une enquête portant sur des accusations de maltraitance.

Au début du mois, un inspecteur de l'Education nationale a signalé l'établissement, Notre-Dame de la Sainte Espérance, auprès de l'académie après avoir constaté des dysfonctionnements et des problèmes au niveau de l'hygiène lors d'un contrôle. Par la suite, plusieurs parents auraient porté plainte pour mauvais traitements sur leurs enfants. Une enquête a donc été ouverte et confiée à la brigade de recherche de L'Arbresle et à la bridage de Vaugneray. La préfecture a également décidé de fermer la restauration de l'établissement a été fermée.
Selon le Progrès, la directrice a donc été mise en examen samedi pour violences volontaires commises sur mineurs de moins de 15 ans, privation de soins et d'aliments. Elle a été placée sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer au sein de l'école en question.
X
3 commentaires
Laisser un commentaire
avatar
Ancien Eleve le 23/06/2018 à 12:50

Je fais partie d'un de ses élèves (7ans). J'ai également assisté à tout le procès. C'est fou à quelle point l'on peu dénigrer une personne par des mots sur un simple article de presse sans connaitre ni l’école,ni la directrice,ni son histoire. Ils étaient 3 coté victimes et nous étions 15 coté soutient à Mlle Humbert. Plus de 90% des élèves passés dans cet internat ont pu en ressortir avec une éducation de qualité, et seulement un petit pourcentage n'a pas été satisfait de son passage. Il y a eu au cours de ce proces plus d'éloge que de rapproche. Simplement, dans un monde ou le négatif prime sur l'information positive car l'on vend plus facilement le negatif (vous comprenez, faut faire du business et de l'argent. Les industries agroalimentaires et pharmaceutique ont le droit de vous vendre de la merde qui va vous rendre malade et vous, on va vous trainer devant un tribunal pour une boite perimée trouvée avec de la poussière.) On préfère informer les gens sur les accusations non fondées qui sont faites a la directrice, on ne préfère afficher que les rapproches cités par des personnes qui je pense,pour les avoir vu, étaient sous l'influence de quelqu'un et pour d'autre, avaient tous simplement le besoin de se sentir exister. Quelle triste fin et quelle perte de temps pour tous le monde de se retrouver la pour des choses si futiles.

Signaler Répondre

avatar
Aym le 24/06/2013 à 09:29

ancien éleve moi aussi j'y étais en 2003 et je confirme ce que tu dis Thib

Signaler Répondre

avatar
Thib. le 23/06/2013 à 20:01

Ce n'est pas la première fois que cette directrice est confrontée à des problèmes avec la police et la justice.

Dans les année 1990, il y avait eu de gros soucis dans cette école, à cause de ses affabulations et de mensonges que racontaient les élèves sous la contrainte. De ma mémoire d'enfant de 8 ans, des gens ont fait des GAV et certain me semble t-il ont été incarcérés pendant plusieurs mois à cause de sa folie. Des gens qui n'avaient rien fait...Mais qui ont subit sa folie


J’étais élève dans cette école à ce moment là, et je n'ai jamais compris pourquoi cette école pouvait encore être ouverte et cette femme être directrice d’école.

Signaler Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.
Les champs requis sont identifiés par une étoile *
Si vous avez un compte Lyon Mag, connectez-vous.
Nous ne vous enverrons pas d'email sans votre autorisation.

Le compte Lyon Mag est gratuit et facultatif. Il vous permet notamment de réserver votre pseudonyme pour les commentaires, afin que personne ne puisse utiliser le pseudo que vous avez enregistré.
Vous pouvez créer un compte gratuitement en cliquant ici.