Selon le Progrès, le parquet a réclamé la condamnation de six des huit
mis en cause, deux d'entre eux étant dissout ou en voie de liquidation
judiciaire. Contre la CGT, considérée comme l'instigatrice de l'accord
intersyndical, 80 000 euros ont été requis.
Les réquisitions sont de 30
000 euros contre Sud Rail, Unsa et CFTC et de 15 000 euros contre la
CFDT et FO.
La justice leur reproche de s'être financés avec l'argent du comité
régional d'entreprise de la SNCF. Des faits qui se seraient déroulés
entre 2002 et 2006 et que les huis syndicats ont toujours contestés,
assurant que l'argent était bel et bien destiné à la formation des
salariés.
Le jugement sera rendu le 26 septembre prochain.
Hormis les fausses factures, le financement illégal des syndicats reposait sur la magouille suivante.
Signaler RépondreIls se répartissaient le budget de fonctionnement du CE, au prorata des voix obtenues lors des élections professionnelles.
Ce qui est TOTALEMENT ILLEGAL, car l'argent du CE doit être utiliser pour le fonctionnement du CE et pas pour les le fonctionnement des syndicats !
Dans d'autres grosses entreprises lyonnaise, ce type de financement occulte existe.
Beaucoup de personnes sont au courant, mais personne ne dit et ne fait rien.
Les patrons de ces entreprises, laissent faire pour avoir la paix sociale...
Là-comme ailleurs ce sont les salariés qui sont floués !
grève, grève, grève, telle sera la réponse bien sûr
Signaler RépondreMaman TAUBIRA leur viendra-t-elle en aide?
Signaler RépondreProchain épisode en Septembre... et peut-être une grève pendant leurs congés d'été...
Pour une foi que l'on parle des syndicats de la SNCF hors d'une grève , ça fait du bien.
Signaler RépondreDe plus c'est eux qui sont emmerder, ce n'est pas l'usagé.