LyonMag.com
Les représentants ont misé sur des affiches et tracts avec un slogan
simple "Je suis radical de gauche" et des portraits coupés entre des
militants et des personnalités historiques ayant fait partie du
mouvement. C’est le cas de Georges Clemenceau ou encore Jean Moulin. Le
député Thierry Braillard a également prêté son visage à la campagne en
posant aux côtés d’Edouard Herriot. "L’idée est de montrer que ce parti
a une histoire et un avenir", insiste Sandrine Frih, présidente du PRG
du Rhône. "Il faut qu’on grossisse les rangs pour dépasser l’image
d’un parti d’élus", ajoute-elle. Aujourd’hui en France, les radicaux de
gauche comptent 10 000 adhérents en France, 800 dans la région
Rhône-Alpes et près de 200 dans le Rhône.
Cette présentation
était également l’occasion d’évoquer les prochaines échéances
électorales, à savoir les municipales. La fédération a d’ores et déjà
pris rendez-vous pour la rentrée avec une soirée au cours de laquelle
elle présentera son programme où figureront quatorze propositions.
Gérard Collomb sera d’ailleurs convié à cette date. "Les négociations à
Lyon n’ont pas encore commencé", explique immédiatement Cédric
Rousset, vice-président, insistant également sur le fait
que les radicaux de gauche devront être considérés comme "des alliés et
pas comme des ralliés" ne cherchant pas "que des places sur les
listes".
Du côté du Grand Lyon, "il y a eu des contacts avec les
partenaires de gauche", assure Azedine Haffar, vice-président. Le parti souhaite ainsi réclamer deux têtes de
liste : Eric Pommet à Sainte-Foy-lès-Lyon et Yves-Jean Quintin à
Grigny.
Dans la campagne des municipales, l’adjoint aux Sports à la Ville de Lyon se
dit "à disposition" même si en début de semaine il a déclaré ne pas
vouloir briguer un nouveau mandat d’adjoint. "On s’inscrit dans la
majorité et la continuité", insiste t-il affirmant que les radicaux de
gauche sont "fiers du bilan de la majorité" mais qu’il faut tout de
même "donner un nouveau souffle avec des têtes et des idées nouvelles".
"Les radicaux ont cette qualité d’être loyaux(…) mais pas des
béni oui-oui", a résumé Thierry Braillard mettant en avant l’exemple
des emplois d’avenir et le manque d’implication des collectivités
territoriales. "La Ville et le Grand Lyon doivent s’intéresser plus à
la création de ces emplois. Il faut que tout le monde fasse l’effort".
Que des planqués ces radicaux de gauche.A la soupe, à la soupe.........
Signaler RépondreOui le Prg peut compter!
Signaler RépondreD'ailleurs, au gouvernement le Ministre dont on se souviendra le mieu de l'action est Radical.
qui sait, la campagne va peut être faire apparaitre une Christiane Taubira lyonnaise!
Nous serons derrière elle!
Nathalie faut pas s'énerver!
Signaler RépondreLa plupart des partis politiques disposent bien de nombreux permanents professionnels pour des missions parfois étonnantes.
Au moins, le prg porte des idées pertinentes parce que bon nombre d'entre elles font ou on fait la République.
Dans la période que nous vivons je crois qu'on pourrait donner un peu plus d'attention à leur discours.
J'espère qu'ils parleront fort dans la campagne.
A la fois ils ne sont que deux dans le Rhône, c'était difficile de les départager...
Signaler Répondredeux têtes de liste ! Ca c'est un parti audacieux !
Signaler RépondreLe Parti Radical de Gauche porte une belle idée sur laquelle nous pourrons nous entretenir. Celle du Solidarisme, la doctrine qui inspira les lois sociales de la notre République.
Signaler RépondreEn lien étroit, les mouvements coopératifs et mutualistes sont l'une des traductions économiques et sociales de ce corpus idéologique et que le Parti Radical de Gauche soutient et promeut.
Aujourd'hui, on en parle avec le vocable à la mode d'économie sociale et solidaire. J'ose croire que les radicaux - de gauche - auront à coeur dans cette campagne de porter la pertinence de cette orientation qui trouvera toute son utilité (économique, sociale et politique) auprès d'une grande partie de la population lyonnaise.
Au plaisir d'échanger avec vous sur les idées et non pas sur Bernard Tapie que je laisse bien volontiers comme argument à ceux qui ont quelque difficulté à promouvoir les idées qu'ils prétendent appeler et chérir.
qui c'est Braillard ?
Signaler RépondreC'est marrant j'ai deja entendu ça quelque part!
Signaler RépondrePendant la campagne des legislatives, avant le premier tour, ensuite apres pr le second tour. Puis pour le recours constitutionnel, et puis après votre décullotée on entend "y a plus de justice".
Les radicaux de gauche de lyon pèsent. Face au fachisme, face à l'integrisme, les radicaux démocrates et républicains seront toujours la pour défendre la république. Ne vous en déplaise.
Le Parti Radical de Gauche, le parti de Bernard Tapie, de Thierry Meyssan ? Sinon des idées ?
Signaler RépondreDans le sillage de leur mentor, le grand kalife coupeur de tête. Ces gens ont du suivre la même université du rire !
Signaler RépondreOui non mais c'est certain vous n'êtes pas des béni oui oui...
Il suffit d'observer votre comportement sur les sujets important et vos votes lors des conseils municipaux !
Vous avez le zèle du béni oui oui, qui est certain de ne pas en être un !
Vous allez voir l'année prochaine, les électeurs vont vous faire retourner dans votre bac à sable.
Très belle campagne d'adhesion!
Signaler RépondreLes radicaux de gauche ont toujours représenté l'humanisme, la solidarité, la laicité et l'engagement européen!
Le PRG compte à Lyon!!
Signaler RépondrePartial ce commentaire car Braillard existe bien politiquement à Lyon.
Signaler RépondreOn rêve sur 4, deux salariés du groupe (notamment à la Région). Le PRG est inexistant aussi bien dans la société, dans les associations,...et l'année dernière ce n'est pas Thierry Braillard qui a été élu à l'assemblée mais Gérard Collomb. Alors un député c'est deja trés bien non....
Signaler Répondrepas des béni oui oui ? vous êtes vraiment sûrs ?
Signaler Répondrecomplètement inféodés à COLLOMB
ça oui oui !
et puis quand on est "frères" on ne se fait pas la guerre, au contraire, on le constate tous les jours dans notre métropole, et si c'était pour la bonne cause, à la rigueur, on pourrait l'admettre, mais voilà ..... les fins justifient le moyen personnel pour se survivre à soi même dans les mandats en cumul de préférence pour concentrer tous les pouvoirs et le lobbying qui va avec
avec tous le personnel de cirage qui va avec ...