Le leader des Jeunesses Nationalistes avait dix jours pour déposer un
recours. C'est à présent chose faite, il a envoyé ce vendredi matin une
lettre d'observation. "J'ai demandé à être entendu oralement par les
personnes susceptibles de faire évoluer l'enquête, donc a priori le
ministère de l'Intérieur, explique Alexandre Gabriac dont le contrôle
judiciaire a été levé ce vendredi. C'est stratégique comme ça ils vont
étudier nos remarques et ne pas nous dissoudre dès demain".
Une fois le
délai dépassé, les Jeunesses nationalistes peuvent en effet être
dissoutes en Conseil des ministres, le prochain étant le 10 juillet.
Plusieurs groupes d'extrême-droite sont aussi dans le viseur de Manuel
Valls comme l'OEuvre française d'Yvan Benedetti. Une procédure motivée,
selon la préfecture, par, "des propos et des actes qui mettent en cause
l'intégrité de la République en propageant une idéologie incitant à la
discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un
groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou
non-appartenance à une ethnie, une nation ou une race".
Merci à Gabriac et à ses jeunes résistants !
Signaler Répondrede grâce arrêtons de lui faire de la pub à ce nazi
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