Mercredi 10 Juillet 2013 à 08h10
Fraude fiscale : Jean-Louis Touraine cible des identitaires
DR Rebeyne
Une quarantaine de personnes, proches des groupes identitaires, a manifesté mardi soir devant le domicile du député, dans le 8e arrondissement de Lyon.
Les manifestants brandissant des banderoles avec des slogans contre
l'évasion fiscale, comparant Jean-Louis Touraine à Jérôme Cahuzac. A
l'origine de ce rassemblement, des accusations portées à l'encontre du
député par des sites anglais en avril dernier. Ces derniers indiquaient
que Jean-Louis Touraine était mouillé dans le scandale des Offshore
Leaks, cette enquête internationale qui épingle des élus et des
particuliers sur leurs évasions fiscales.
Jean-Louis Touraine a toujours démenti ces informations. Mardi soir, il
n'était pas à son domicile au moment de la manifestation, il se trouvait
dans le cabinet du ministre de l'Intérieur. Un homme a été interpellé
puis libéré dans la soirée.
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Il n'y a rien de troublant.
Signaler RépondreLes prisons sont les maisons d'apprentissage du crime, les loges sont les maisons d'apprentissage de détournements de l'argent public sans risquer la prison.
Vaut mieux être en loge.
C'est effectivement troublant de constater que tout ce beau monde appartient à la même obédience :
Signaler RépondreG?O?D?F?
Est-ce une coïncidence ?
Pour éclairer cette affaire, il faut savoir qu'entre 2008 et janvier 2012, l'un des principaux dirigeants de la banques HSBC Private Bank France n'était autre que le frère de l'ex-ministre du Budget, Antoine Cahuzac. En sa qualité de président de la commission des finances de l'Assemblée nationale, Jérôme Cahuzac est alors chargé d'enquêter sur les activités illicites de la banque HSBC. Mais il ne l'a pas fait, en dépit de l'alerte donnée par Arnaud Montebourg dixit ce dernier. (source Cash Investigation : )
Signaler RépondreDevinez qui est dans la même loge que Cahuzac ?
Oh bordel, toi, tu as des soucsi dans ta tête ...
Signaler RépondreLe bougre remet cela.
Signaler RépondreA lire les premières lignes, on pourrait douter.
Mais le dernier lien qu'il met ne laisse plus de place au doute.
Le pseudo toto est un identitaire qui doit se trouver beau derrière un masque sur la photo pour venir régulièrement sous divers pseudos remonter ce post ignoble.
Avancer masqué, encore un élément qui ne laisse pas de place au doute sur cet identitaire dont tous les liens, s'il fallait encore le démontrer, prouve qu'il est obsédé par la théorie du complot.
CQFD !
Pardon ?
Signaler RépondreVous me traiter d'identitaire ????
Ces mous du bulbe ? Ces racailles, ces primates là ???
Mais qu'est ce qui vous fait penser ça ???
Parce que je parle d'évasion fiscale ?
Mais là, dans le reportage suggéré, on parle de milliard, rien à voir avec ce type me semble t il ! On parle des entreprise du CAC40 qui ne paye pas ou quasi pas d’impôts en france !
Si ce monsieur est coupable, qu'il soit condamné, et basta. Je ne vais pas défendre ce monsieur, je ne connais rien de l'histoire.
Une action comme l'on fait ces guignols ne rime à rien et ne sert qu'a voir leur nom cité dans ce genre d'article.
Ce qui me révolte le + ici, c'est de voir le nombre de commentaires depuis la parution de l'article. Comme si tout les bas du front s'était donné rdv ici pour le maintenir bien haut, bien visible, durant tout l'été.
Et de manière générale, je trouve flippant de voir tant de réactions aux faits divers (bijoutier/éléphants/mariage homo/etc) et si peu lorsqu'on parle de vrais problèmes, comme je le disait avant.
Tenez, du nouveau sujet, au choix, dans le désordre :
Le travail : Pourquoi ? :
(mise en forme critiquable, mais contenu intéressant)
La raison du plus fort :
http://dai.ly/xev4p9
L'Obsolescence Programmée :
Goldman Sachs - Les nouveaux maîtres du monde :
Et en dernier, un autre article sur Touraine :
http://www.rue89lyon.fr/2013/04/18/bermudes-enfer-du-depute-jean-louis-touraine
(que je viens tout juste de lire, en tapant ce commentaire)
On tient ici notre Champion "le Roi de l'amalgame".
Signaler RépondreUn sujet sur l'évasion fiscale dans un documentaire nommé "Cash Investigation" et l'autre, identitaire ?, avec ses gros sabots qui vient sournoisement sous entendre que ce paisible député du Rhône serait de près lié à ce sujet.
N'est-ce pas une bonne cause pour être censuré que de telles vilenies ?
Mais c'est le Ba-ba du journalisme ça et je m'étonne de votre réaction !
Signaler Répondre.Je parle du vrai journalisme , celui d'investigation, celui qui ne fait pas dans le copier-coller à partir des agences de presse telles Havas ou Reuters, celui qui consiste à faire le métier, à mouiller la chemise, c'est à dire à enquêter et à vérifier ses sources : un gros boulot .
A ma connaissance, en France et depuis quelques années, seul Mediapart s'en acquitte avec des résultats tangibles, encore que l'on puisse se poser la question du pourquoi : qui les couvre au niveau politique ?.
Les journalistes, ainsi que les policiers, font leur métier .Ensuite leurs directeurs et décisionnaires leur donne carte blanche et beaucoup de moyens pour y parvenir ou leur dit d'oublier , qu'on passe à autre chose ....
Donc, se pose la question de savoir si l'information doit être scellé ou révélé, et c'est là que vous avez raison : la direction du canard ou des services de police donnent ou non le feu vert , cela parce qu'il n'existe PAS de presse intègre à haut niveau, celui des décideurs et pas celui des enquêteurs de terrain !
Les médias en général sont là pour servir la soupe, sans eux les politiques n'existeraient , je pense que vous pouvez le comprendre ça.
Supprimez les médias et il n'y a plus de semblant de démocratie , les élus deviennent muets . La preuve , c'est que le premier boulot des dictateurs en arrivant c'est d' enfermer et écarter pour nommer eux-mêmes ceux qui leur sont acquis et dévoués .Museler les médias parce que leur pouvoir est potentiellement grand, très !.
Les médias assument une fonction précise : celle d'informer, dans la limite de ce qui leur est autorisé .Ils sont la courroie de transmission entre les décideurs et les '' administrés '' .Ni plus ni moins !
Si les informations restent dans les tiroirs comme vous dites, c'est à dire qu'elles ne sont jamais portées à la connaissance du public, n'est-ce pas la démonstration que ce journalisme n'existe pas en finalité ?
Signaler Répondre"Lorsque la présentatrice de Cash Investigation fait, dans son journal, l'apologie du vol et du braquage (affaire de nice)"
Signaler Répondre"Mediapart et d'autres manquent cruellement d'apolitisme"
Et voila ce que je disais, dans sa version soft ...
(mais rappelez moi quand même une chose : qui a été a l'origine de l'affaire Cahuzac ?)
Pour ceux qui n'ont pas encore vu le très bon reportage sur un scandale, un vrai qui devrait mobiliser les foules bien avant toutes les "bétises" du genre éléphants malades / bijoutier assasin :
(surprenant, ca fait 5x que ma réponse est "censuré". Qu'a t il donc ce message ? N'hésitez pas à me le dire, amis censeurs ;) )
Mediapart chasse le gros gibier, pas la petite bécasse comme dans ce type d'affaires relaté par cet article.
Signaler RépondreUn député provincial inconnu au niveau national et tous juste connu dans sa circonscription parce qu'il se présente sous l'étiquette d'un grand parti, Mediapart n'en a que faire.
Si à la limite Gérard Collomb était mêlé à cette affaire, Mediapart relaierait avec moult détails ce genre de pratiques.
Mais là...
Lorsque la présentatrice de Cash Investigation fait, dans son journal, l'apologie du vol et du braquage (affaire de nice); on peut difficilement parler de journalisme indépendant...
Signaler RépondreMediapart et d'autres manquent cruellement d'apolitisme. Cet apolitisme qui les rendrait crédibles!
Ce journalisme existe, ce qui l'empêche d'aboutir c'est la connivence entre les directeurs de journaux et les élus c'est tout .
Signaler RépondreDans les tiroirs de chaque rédaction de grand quotidien il y a de précieuses informations qui s'empoussièrent parce que '' l'on ne peut les publier voyons '' ...
Il existe, il vous suffit de vous y intéresser.
Signaler RépondreRegardez tout ce qu'à sortit Mediapart, par exemple, ou le "Cash investigation" sur l'évasion fiscale ...
Mais bon, il y a encore des anes qui crient au bolchevik dès qu'on sort du figaro ou minute ... C'est pas gagné.
Si en France le journalisme d'investigation existait les élus seraient plus honnêtes et plus soucieux de l'argent public.
Signaler RépondreVoilà à quoi sert entre autres l'argent public.
Signaler RépondreA embellir la réputation d'élus sur internet.
Une casserole de plus.
On pourra toujours lui offrir un déambulateur !
Signaler RépondreIl se murmure à l'hôtel de ville que face au non renouvellement de son poste de 1er adjoint en cas de nouvelle victoire de Gérard Collomb aux prochaines municipales, que Jean-Louis Touraine est très contrarié de perdre le véhicule avec chauffer.
Signaler RépondreIl négocierait actuellement de conserver cet avantage pendant le nouveau mandat de Gérard Collomb.
L'équipe de Jean-Louis débarque sur Lyon Mag pour lui refaire une réputation.
Signaler RépondreTrop tard...!
Hier, les apprentis manipulateurs justiciers ont reçu dans leur local Bruno Gollnisch.
Signaler RépondreNous sympathisants socialistes n'iront pas manifester devant les domiciles personnels des ces individus tant nous sommes respectueux et dignes de la République.
Dans notre République de Droit, le Droit est donné par la justice et non par quelques excités qui braillent des insanités et autres mensonges en permanence.
Honte à ceux qui salissent ce député exemplaire.
C'est ironique ?
Signaler RépondreLa crise fait perdre la raison à beaucoup d'entre vous.
Signaler RépondreC'est comme pour le bijoutier à Nice.
Un commerçant devenu assassin, vous en faites un héros.
Un délinquant devenu victime d'un assassin, vous en faites une crapule.
Ressaisissez-vous !
Les personnes malsaines sont ces voyous d'extrême droite qui fricote avec les élites du Front National mais certainement pas ce paisible député.
Le vrai scandale n'est pas le député qui pratiquerait la fraude fiscale, si fraude fiscale, c'est la bande d'énergumènes qui reçoit Bruno Gollnish, ami de Faurisson, dans leur local de la Traboule.
Signaler RépondreIl faut savoir recadrer les priorités scandaleuses.
Tous les élus sont concernés par l'abus de confiance.
Signaler RépondreSi la justice était indépendante dans une République honorable, peu nombreux seraient les élus acquittés.
L'abandon immédiat de son poste de 1er adjoint en cas de réélection à la députation n'était-il pas un engagement de campagne de ce député ?
Signaler RépondrePlus d'un an après son élection à la députation, il est toujours resté contre ses promesses 1er adjoint.
Dès lors, conformément au Droit français, ce député, sans préjuger de ses autres actions, tomberait sous le coup de la loi pour abus de confiance.
L'abus de confiance est, en France, « le fait par une personne de détourner, au préjudice d'autrui (les électeurs, contribuables, ...) , des fonds (ex. argent public, indemnité, ...), des valeurs (recherches financées par l'argent public) ou un bien quelconque (brevet, ...) qui lui ont été remis (mandat député) et qu'elle a acceptés à charge de les rendre, de les représenter ou d'en faire un usage déterminé (promesse d'abandon du poste de 1er adjoint) ».
L’article 314-1 du Code pénal français punit ce délit d'une peine pouvant aller jusqu'à 375 000 € d'amende et 3 ans d'emprisonnement.
Que fait la justice ?
Pourquoi les principaux marchés du Grand Lyon sont-ils confiés au plus disant très souvent ?
Signaler RépondreLes paradis fiscaux ne serviraient-ils pas de couverture pour blanchir des commissions, des dessous de table et autres pratiques occultes ?
Nous, simples quidam issus du peuple ignare qui devons nous affranchir de la dîme pour nos bons représentants, pouvons-nous caresser l'espoir de connaître qui sont ces bons élus qui récompensent en gentleman les bons et loyaux services de courtisanes ?
Signaler RépondreLe plus étonnant à Lyon, c'est que nous avons de l'argent public qui coule à flots et qui se distribue entre initiés dans les conseils d'arrondissement, un député qui vend dans un paradis fiscal en son nom propre des recherches publiques financées par l'argent des contribuables, etc... mais la justice reste toujours inerte.
Signaler RépondreSerait-elle bénéficiaire de cet argent public qui se distribue entre initiés pour à ce point ne rien voir et ne rien faire ?
La question est légitime.
Dans un pays '' démocratiquement bouclé '' tel que la France, où il n'y a pas d'opposition à la gouvernance, mais seulement des alternances de deux grands clans à visées similaires, alors il est totalement illusoire d'espérer une honnêteté de fait chez les décisionnaires .
Signaler RépondreOn voit bien que les seules oppositions ne visent que ce qui ne remet pas en cause le profit et visent uniquement les choix de la société civile ( mariage gay, etc ),os à ronger pour le bas peuple ... .
Rien de fondamental n'est jamais remis en cause par l'un ou l'autre des deux clans, et devant les décisions stratégiques pour les banquiers, les industriels et les politiques , il y a immanquablement consensus aux deux assemblées, c'est un fait qui devrait au minimum interroger !
Plutôt que s'affronter sur les bords le bon peuple non éduqué devraient à l'évidence se mêler lui même du fond, de la direction du pays et des affaires. Mais cela demande plus d'investissement et de courage que celui qui consiste à râler .
Et voilà que l'on apprend ce jour dans le Progrès que des conseillers d'arrondissements sont généreusement arrosés d'argent public par les élus.
Signaler RépondrePourquoi cette distribution d'argent public à des conseillers d'arrondissement ?
D'ici là que l'on apprenne que les ventes de biens publics dans les paradis fiscaux servent à alimenter une caisse noire pour arroser des conseillers d'arrondissement pour de menus services, nous ne serions même plus étonnés.
Au moins on sait à quoi sert nos impôts et taxes, à engraisser ceux qui se battent à chaque élection non pour l'intérêt général mais pour se gaver sur le dos de la bête.
Même quand l'UMP est mêlée dans des affaires, y a toujours au moins un socialiste au milieu.
Signaler RépondreC'est pour cela qu'ils ne disent rien.
@Alain - C'est idiot votre constat.
Signaler RépondreLe principe des prestations sociales est que ces prestations puissent aider justement ceux qui ne peuvent pas cotiser.
Sinon quel intérêt de cotiser, si c'est pour retoucher ses propres cotisations ?
Et enfin que rapport avec la fraude fiscale et les paradis fiscaux ?
Il est même de notoriété journalistique et politique que certains parlementaires, députés ou sénateurs provinciaux notamment, utilisent l'IRFM pour financer des locations ou des achats d'appartements pour leurs maîtresses à Paris.
Signaler RépondreSinon, comment sont financés la permanence parlementaire au 117 avenue de Saxe à Lyon et un appartement à Bron ?
Un système opaque
Signaler RépondreLes premières trouvailles de Tracfin suffisent en tout cas à relancer le débat sur l’usage incontrôlé de cette enveloppe « destinée à couvrir forfaitairement les dépenses liées à l’exercice du mandat de député » (dixit le site de l'Assemblée), accordée aux élus en plus de leur traitement de base de 7 100 euros mensuels et de l'allocation dédiée à leurs collaborateurs (9 500 euros). La nature des dépenses engagées n'est jamais examinée par les fonctionnaires du Palais-Bourbon, ni d’ailleurs par la Cour des comptes, ni même par le fisc qui n’a plus le droit d'y fourrer son nez depuis 2002 – « (L'IRFM ne peut) donner lieu à aucune vérification de la part de l'administration », précise le Code général des impôts.
À l'arrivée, ce système opaque facilite – sinon favorise – les dérives.
Au printemps 2012, Mediapart a déjà dévoilé que le député Pascal Terrasse (PS) avait pioché dans son IRFM pour financer des vacances en Égypte et en famille, des voyages en Espagne, des billets de train pour son épouse et ses enfants, sa cotisation au PS, ou encore des charges liées à son mandat de conseiller général. Nous avons ensuite raconté comment des parlementaires profitaient de leur IRFM pour acheter leur permanence électorale (voire un pied-à-terre à Paris), avec la perspective d'une plus-value à l'issue de leur mandat.
Comme député, Jérôme Cahuzac piochait dans ses frais de mandat pour financer des « dépenses personnelles, ce qui paraît contraire à l'esprit de cette indemnité », d'après une note du service Tracfin dont Mediapart a eu connaissance.
Signaler Répondreet là c'est parce que CAHUZAC s'est fait "coincer" pour autre chose que l'on regarde un peu plus à fond tout sur le personnage
mais nos ELUS LOCAUX cumulards, c'est quand qu'on va les prendre la MAIN DANS LE SAC ??????
@Alain
Signaler RépondreSi le constat que vous faites est plutôt réaliste, il n'en demeure pas moins que vous concluez de manière pessimiste.
Il apparaît clairement et je vous rejoins, que la solution ne viendra ni de la politique, quelque soit le parti, ni de la religion quelque soit celle-ci.
L'optimisme doit nous obliger à inventer une nouvelle société et non trouver en permanence des solutions pour tenter de repousser l'inéluctable, la chute de l'Occident.
Il nous faut trouver la solution dans nos comportements et non dans un nouveau dogme ou une nouvelle théorie sociale et/ou économique ou de nouveaux "chefs".
Pensez-vous que ce député puisse inventer l'avenir lui et sa génération avec la dette qu'ils imposent aux générations futures occidentales ?
Inventons l'avenir loin de tout dogme !
Ah parcequ'il n'y a aucunes "affaires" touchant les p'tits gars de l'UMP ?
Signaler RépondreVous étiez où ces 20 dernières années ?
C'est votre coté "anti-socialiste" primaire qui vous aveugle a ce point ?
Vous ne lisez que le Figaro de M. Dassault ?
Parce que là, on ne parle pas de qq milliers d'euro, on parle de centaines de millions, de tentatives d'assassinat et de morts !!!
Très bonne synthèse à laquelle je me rallie !
Signaler RépondreLe constat de bénéficier de moins en moins de prestations sociales alors que nous participons toujours plus au financement de ces prestations sociales poussent quelques centaines de français en ces temps de crise à s'intéresser à la gestion de l'argent public.
Signaler RépondreLes plus optimistes diront, il était temps, les plus pessimistes, il est trop tard.
L'affaire présente, qui date depuis 2004 soit dit en passant, illustre parfaitement ce constat.
Est-il trop tard ou est-il temps de s'intéresser à ce type d'affaires ?
Il est malheureusement trop tard, suis-je pessimiste ?
Non, réaliste je pense.
Regardons la dernière de demande de Cahuzac à l'Assemblée Nationale.
Il demande le remboursement de ses frais pour avoir été entendu par la commission d'enquête de l'Assemblée suite à ses turpitudes.
Ces gens-là sont totalement déconnectés de la réalité.
Regardons le droit de réponse de Jean-Louis Touraine.
Il affirme que cette cession de recherches publiques à son nom dans un paradis fiscal est pour le bien public.
Nous sommes dirigés par des gens qui pensent qu'ils peuvent disposer comme ils l'entendent de l'argent public et que rien ne peut venir entraver leurs croyances.
Religion et politique, ce n'est qu'une question de croyance et non de faits.
Voilà pourquoi, nous ne réglerons aucun problème et que nous continuerons de nous enfoncer.
tout à fait, allez voir un peu ce qu'il se passe dans le 59, dans le 13, dans le 47 ils sont magnifiques ces socialistes intouchables
Signaler RépondreIls se croient en totale impunité mais la justice les rattrape
et ce n'est pas fini
oh non mon colomb ce n'est pas fini et c'est au pénal que, le temps venu, les affaires se traiteront
Et voilà... !
Signaler RépondreUn des leurs est pris la main dans le sac et les menaces de dévoiler d'autres affaires sur le camp d'en face sont brandies. Juste des menaces, pas l'once d'un brin de preuves.
Ces socialistes sont des voyous dont les méthodes rappellent plus la mafia qu'un parti républicain.
Pourquoi voulez-vous que M. Havard parle de cette affaire ?
Signaler RépondreDes élus UMP de Lyon ne sont pas exempts de tous reproches ni d'affaires qu'il vaudrait mieux que les contribuables ne connaissent pas.
Michel Havard avait promis qu'il réclamerait des explications à Jean-Louis Touraine :
Signaler Répondrehttps://www.facebook.com/Les.Jeunes.avec.Michel.Havard/posts/182471225236994
A ce jour, Michel Havard s'est tu et n'a rien demandé comme il le promettait.
Les socialistes auraient-ils un dossier sur Michel Havard que ce dernier fasse silence ?
La France encore à la traîne... concernant la fiscalité et la justice.
Signaler RépondreAlors que les banques suisses veulent désormais des clients français fiscalement en règle, la France pourtant munie de listes d'évadés fiscaux, reste inerte et sa justice aux abonnés absents.
Nous sommes devenus la république bananière d l'Europe que toutes les mafias nous envient.
Je crois bien que malheureusement vous ayez raison.
Signaler RépondrePour l'aristocratie républicaine, élus, grands capitaines d'industrie, people, ... la justice se moque des faits.
Pour cette aristocratie, la machine judiciaire ne se met en route que si et seulement si, l'affaire a été médiatisée mais également rencontrée ensuite une vague de soulèvement populaire.
Sans ces deux préalables, l'aristocratie républicaine est en comparaison avec les citoyens contribuables jamais ou peu ennuyée par la justice pour des faits pourtant similaires.
Cela doit être l'égalité républicaine dont nos élus n'ont de cesse de nous abreuver.
Je ne suis pas certain que la cession aux Iles Bermudes ait fait l'objet d'une déclaration fiscale.
Signaler RépondreDès lors, on entrerait là aussi dans le cas de "non déclaration" de revenus.
Il semblerait que les ennuis judiciaires soient plus liés à la médiatisation qu'aux faits réels.
+1
Signaler RépondreExactement
Non, un bon élu sait qu'il est au service de ses administrés.
Signaler RépondrePoint final.
Tromper le fisc a toujours été plus dangereux que de piller l'argent de la collectivité.
Signaler RépondreUn bon élu sait cela.
Au vu des ennuis judiciaires de l'un, et de l'absence d'ennuis judiciaires de l'autre, la conclusion suivante s'impose.
Signaler RépondreEn France, il est moins risqué judiciairement de vendre dans un paradis fiscal en son nom propre le bien de la collectivité plutôt que de ne pas déclarer ses revenus.