Alexandre Gabriac des Jeunesses nationalistes et Yvan Benedetti de
l'OEuvre française ont reçu vendredi la notification de dissolution,
comme l'affirme ce dernier dans un tweet :
"Je sors du commissariat central de Lyon. Aujourd'hui à 22h15
l'#oeuvrefrançaise est officiellement dissoute. #dissolutionnon
#revolution".
Tous deux ont annoncés sur les réseaux sociaux avoir d'ores et déjà
déposé un recours suspensif devant le Conseil d'Etat pour faire annuler cette
décision. Ils avaient deux mois pour le faire.
Mercredi, Manuel Valls, ministre de l'Intérieur, avait confirmé la
dissolution des deux groupuscules en sortant du conseil des ministres.
"L'Oeuvre française était une association qui propage une idéologie
xénophobe et antisémite, des thèses racistes et négationnistes, qui
exalte la collaboration et le régime de Vichy, et qui rend des hommages
réguliers au maréchal Pétain, à Brasillach ou à Maurras", a indiqué
Valls. Quant aux Jeunesses nationalistes "elles propagent, elles aussi,
la haine et la violence".
Les Jeunesses Nationalistes et l'Oeuvre Française subissent ainsi le
même sort que les Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires. Le ministère
de l'Intérieur avait entrepris ces procédures suite à la mort de
Clément Méric.
Exactement si tu fais des stats on est tous d'accord avec vous
Signaler RépondreAvant d'ouvrir la bouche fait un peu l'historique des agressions dues à l’extrême droite (lyonnaise en particulier) on pourra comparer à celle(s) de l’extrême gauche....
Signaler RépondreJe dis moi qu'il faut aussi dissoudre "Touche pas à mon pote " ; " SOS Racisme" car en plus ces des associations perçoivent de l'argent de l'état donc du contribuables.
Signaler RépondreComme ça pas de jaloux.
On dissout les agressés et on félicite les agresseurs. La gauche est toujours du côté des coupables, des assassins, des voleurs et des violeurs !
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