Une dizaine d'opposants au Grand Stade devant la CCI - LyonMag
Jean-Michel Aulas présentait officiellement à la presse le Grand Stade, dont la construction débutera dans les prochains jours. Le président de l’OL a bouclé vendredi dernier le plan de financement, soit neuf ans après le début du projet.
Pour l’occasion, Pierre Moscovici, avait fait le déplacement, se félicitant de "ce jour important pour le développement de la région, bien au-delà des échéances sportives de 2016". Rappelant le rôle limité de l’Etat dans ce projet, notamment via la Caisse des Dépôts et Consignation, le ministre du Budget a surtout parlé du "rôle de facilitateur" que ses équipes ont pu jouer.
Michel Mercier, vice président du conseil général, Bernard Rivalta, président du Sytral et Gérard Collomb avait aussi fait le déplacement. Tout comme Frédéric Thiriez, le président de la Ligue de football, qui, à son arrivée, est tombé dans les bras de Jean-Michel Aulas.
Le futur Grand Stade de l'OL - DR
A l’extérieur de la CCI, l’ambiance était plus tendue. Présence
ministérielle oblige, de nombreux agents assuraient la sécurité. Une
dizaine d’opposants anti-stade s’étaient donnés rendez-vous et ont
déroulé une banderole pour protester contre le projet.
Un projet à 405 millions d’euros
Le
Stade des Lumières devrait être prêt pour la saison 2015-2016. Un
timing parfait pour accueillir la Coupe d’Europe, qui se déroulera en
France en 2016. "Nous sommes candidats à l’organisation du match d’ouverture, à des matches de poule et d’une demi-finale", a déclaré Jean-Michel Aulas.
En
quelques chiffres, le futur Grand Stade sera composé de 58 000 places,
dont 3 000 places visiteurs et 6 000 places VIP, 16 000 places de
parking et 350 places pour personnes à mobilité réduite. La pelouse sera
à ciel ouvert, mais les tribunes seront entièrement couvertes. Il
pourra accueillir d’autres sports comme le rugby, mais aussi des
évènements culturels.
Le projet ne contient pas seulement un stade
mais aussi tout un complexe sportif, avec un centre médical dédié au
sport, un centre de loisirs, un centre de remise en forme, un
auditorium, deux hôtels et des immeubles de bureaux.
A partir du 1er août, la société va pouvoir émettre des obligations d’une valeur nominale unitaire de 100 euros. "Ces obligations sont ouvertes aux actionnaires comme aux non-actionnaires", explique le président de l’OL.
Bref un montage complexe qui n’a pas été facile à réaliser. Le président de l’OL va maintenant sûrement souffler un peu et suivre les conseils de Philippe Grillot le président de la CCI : "Jean-Michel, tu as besoin de repos".
ahahahahaaaa !!
Signaler Répondreet ils sont ou ????
et ils sont ou ??
Et ils sont ou les 14 Anti TOUT !!!!
Evidemment, tout le monde sait depuis le départ que les anti-stade sont des riverains du stade. L'histoire de l'argent public c'est complètement bidon. On ne les as jamais entendu sur le musée des Confluences par exemple alors qu'il va coûter des centaines de millions d'euros aux contribuables, bien plus que les accès de ce fichu stade. Et de plus, choisir Etienne Tête pour défendre leur dossier, excusez moi!
Signaler Répondre@mauvais stratégie
Signaler RépondreL'association Carton Rouge a été crée pour ça, ce qui n'empêche pas certains adhérents et membres du bureau de se battre contre d'autres projets iniques. Seulement vu le nombre de dossiers scandaleux...il faut bien choisir, c'est comme l'humanitaire les ONG sont aussi obligées de choisir où elles porteront leur aide, c'est comme les acteurs ou sportifs qui soutiennent plus particulièrement une association : ils sont obligés de choisir ils ne peuvent être partout. Mais c'est pas pour autant qu'ils oublient ou sont moins sensibles aux autres causes !
En plus, nous n'avons pas des sbires qui travaillent à notre place ou nous remplacent auprès de nos familles comme les cumulards .
Alors oui nous avons choisi de mettre en avant notre combat contre l’implantation d'ol land. Et vous vous faîtes quoi ?
AULAS THE KING
Signaler Répondrequand au conservateur de ce pays regarder la France comment vous l'avez faite !!!!!!!!!!
Avant on était une cité universitaire connue, avant on avait de grands centre de recherche, maintenant on a un stade de foot.Chaque époque a sa marque.
Signaler RépondreMaintenant, y a plus que le foot qui compte...
Les anti-stade auraient mérité d'être plus entendu s'ils avaient étendu leur indignation à tous les projets et autres organisations de détournements d'argent public.
Signaler RépondreLà en s'entêtant sur le seul projet du Grand Stade, ils ont donné l'impression qu'ils défendaient exclusivement leur pré carré et non l'intérêt général.
On ne peut pas contester seulement sur le Grand Stade l'emploi d'argent public et se taire sur d'autres projets et sur les affaires des élus rhodaniens dans les paradis fiscaux.
Les lyonnais ne sont pas dupes.
La quantité n'est pas synonyme de qualité...
Signaler RépondreIl n'y a qu' a vous entendre beugler par milliers dans les stades pour s'en rendre compte.
...si c'est pas un titre accrocheur ça.....
Signaler Répondre" Une dizaine d’opposants anti-stade "... tout est dit...
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