Volvo explique que cette décision est liée "aux changements que nécessite la nouvelle gamme de véhicules Renault Trucks". Cette mesure concerne donc les véhicules de la nouvelle ligne, obéissant aux nouvelles normes anti-pollution, destinés au marché turc. Une production d'environ 2 000 camions par an (1 924 livrés en Turquie en 2012) qui va redonner de l'activité aux trois usines françaises de la marque, dont les deux sites rhônalpins de Vénissieux et Bourg-en-Bresse, alors qu'elles connaissaient de plus en plus de périodes de chômage technique, faute de commandes. Volvo considère ainsi que cette décision aura "des effets positifs à long terme grâce à un meilleur taux d'utilisation des usines existantes". Renault Trucks emploie aujourd'hui 10 000 personnes en France. Il faut se souvenir que cette nouvelle gamme de camions avait été présentée à Lyon le 11 juin dernier.
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En quoi cela contredit-il mon texte? On ne vit pas dans un monde de gentils salariés et de méchants patrons... enlevez vos oeillères!
Signaler Répondrec'est vrai que jamais aucune boite n'a délocalisé pour des raisons purement bancaires sous les applaudissements du MEDEF...
Signaler RépondreDésolant mais (et ce n'est pas qqun qu'on pourrait qualifier de "droitier" qui écrit) tellement vrai et à de tellement nombreux endroits que ça revient à une preuve expérimentale.
Signaler RépondreCe syndicat et ses copains de SUD ont coulé bon nombre de boîtes privées comme publiques et continuent à le faire.
Entre refuser le dumping social, ce qui est salutaire, et refuser tout compromis, ce qui est idiot car nous ne sommes plus et ne serons jamais plus dans les "30 glorieuses", il y a une grosse marche qu'hélas toutes les sections ne sont pas prêtes à prendre.
Je préfère me désoler du triste impact de certains syndicats sur les chiffres du chômage...
Signaler RépondreImpacrt minime sur l'activité d'après ce qu'on peut lire sur d'autres sites....
Signaler Répondrec'est désolant ce commentaire
Signaler Répondreexcellente nouvelle ! non, l'herbe n'est pas plus verte ailleurs et surtout les compétences bien moindres.
Signaler RépondreIl semblerait que les entrepreneurs commencent à réfléchir sur le coût réel de la délocalisation.
Excellente nouvelle ! En espérant que la CGT ne fera pas regretter à Volvo son choix !
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