Avant que les syndicats ne soient reçus au ministère du Redressement
Productif le 30 août, ils verront la direction de Kem One. Et les
conditions de licenciement devraient être abordés.
Interrogée par le
Progrès, la CGT a toutefois précisé qu'elle refusera "ce chantage
purement financier" et préférera "se battre pour aucune suppression de
poste".
Kem One emploie 1800 personnes, 1300 sont concernées par la procédure de
redressement judiciaire. De potentiels repreneurs sont toujours espérés
avant le 9 septembre, date limite fixée par le tribunal de commerce de
Lyon.