Cela fait déjà quatre nuits que du personnel du collège vaudais et les
familles sans-abri passent dans l'établissement.
Sans nouvelle de la préfecture du Rhône et du Conseil Général, les
enseignants ont établi des contacts avec la mairie de Vaulx-en-Velin.
Le
maire Bernard Genin doit, ce lundi, assister à une réunion de travail
au collège.
A la fin de cet entretien où des solutions doivent être trouvées pour
loger les familles de deux collégiens vouées à dormir dans la rue, une
conférence de presse sera organisée. "Si à l'issue de la rencontre rien
n'était proposé, preuve qu'au niveau local personne, de gauche (mairie
de Vaulx-en-Velin, préfet représentant de l'état), comme de droite
(Conseil Général), ne veut prendre ses responsabilités alors que tous
disposent de logements vacants, les enseignants mettraient leur menace
de grève à exécution mardi 17/9 au matin.
Les personnels se verraient
alors dans l'obligation de demander un arbitrage national auprès des
ministères du logement, de l'intérieur et de l'éducation nationale. Dans
ce but, ils ont déjà pris des contacts avec Jean Claude Amara,
président honoraire de l'association Droit au Logement, et porte parole
de Droits Devant pour se faire entendre et mener des actions pour
populariser leurs revendications", annoncent les enseignants dans un
communiqué.
Oui, vous avez en quelque sorte raison : le fait de calculer en augurant du pire pour son adversaire et de laisser pourrir une situation est assimilable à la posture du racket lorsqu'il s'agit de sujets concrêts, bien vivants et réels .
Signaler RépondreToutefois, le mot démission me semble beaucoup mieux approprié, mais l'appréciation est personnelle, j'en conviens .
.Et cela ne grandit en rien les autorités en charge de ce dossier qui les gêne ; c'est même assez pitoyable je pense .
J'appelle ça du racket
Signaler RépondreVous avez raison, c'est justement à ce point que les autorités voulaient les amener en ne répondant pas .
Signaler RépondreHonte aux autorités donc qui comptaient sur les gens comme vous pour discréditer le mouvement d'entraide tout à fait légitime et citoyen de ces enseignants ! ! !
Ou la grêve????n'y a t'il pas d'autres alternatives? quelle honte, justement à l'heure de la rentrée.
Signaler RépondreSi ce n'est pas une prise d'otage ça... triste constat