Rémi Garde entend continuer à "donner des repères" à son équipe qui tente de se rétablir totalement d'une série de quatre défaites de suite qui a notamment conduit à l'élimination en Champion's league.
Deux résultats nuls, sans but, ont ensuite été les prémices à un rétablissement confirmé par la victoire contre Nantes.
Certes, pour l'heure, en Ligue 1, les Lyonnais, invaincus depuis trois matches mais encore convalescents, affichent finalement un bilan honorable même s'ils n'ont affronté aucun ténor de la compétition.
Ils sont 7e du classement et, pourtant affublés d'une étiquette défensive il y a seulement quelques jours, ils ont aussi la meilleure attaque, surtout grâce aux sept buts inscrits lors des deux premières journées face à Nice et Sochaux.
En attendant, Garde n'entend pas modifier les grandes lignes de son onze de départ qui lui permet de repartir du bon pied. En a-t-il seulement les moyens ?
Poser la question est déjà y répondre : non. Et on ne changera donc pas une équipe qui gagne, ou ne perd pas, par nécessité.
Le temps paraît déjà celui d'une autre époque où lorsque il jouait tous les trois jours, l'OL pouvait largement faire tourner pour maintenir la fraîcheur nécessaire à la performance à haut niveau en disposant d'un effectif capable d'aligner deux équipes de L1.
Lundi en conférence de presse, Rémi Garde a accablé la performance "pauvre sportivement et en terme d'état d'esprit" de la réserve battue 3-1 à Villefranche, samedi en CFA confiant ainsi qu'aucun joueur de l'équipe B, dans laquelle ont été relégués Benzia et Bahlouli, ne méritait de monter en professionnels.
Et lorsque l'on voit désormais la configuration du banc de touche, il ne paraît pas donner à l'entraîneur lyonnais toutes les cartes pour faire du coaching gagnant comme on pouvait le voir il y a quelques années.
Les déséquilibres du groupe, avec beaucoup de milieux axiaux, peu de joueurs de couloirs malgré un recrutement orienté pour combler cette lacune, et la nécessité de faire jouer Fofana arrière droit pour compenser les absences de M. Lopes et Dabo, confirment les limites actuelles de l'Olympique Lyonnais.
C'est donc avec ces moyens que l'OL tentera de remporter un second succès consécutif contre l'AC Ajaccio qui attend pour sa part toujours sa première victoire de la saison.
là ça se corse vraiment
Signaler Répondrequel émerveillement ces lyonnais !
Signaler Répondrec'est le fameux rayonnement !
VITE VITE une deuxième grand stade pour contenir tant de talents !
voila une parfaite explication de texte
Signaler Répondreet j'ajouterais même que le contributeur ci-dessus qui s'identifie à OLYMPIQUE LYONNAIS n'en est en fait qu'une composante du fonds de commerce du bienfaiteur de l'humanité AULAS (qui faute de pépites a dû laisser le leadership de la SOCIETE à SEYDOUX)
et que son obole de billetterie n'est valorisée par AULAS qu'en terme de rentabilité de son business,
sous l'oeil à peine INTERESSE de son pote COLLOMB
qui se voit déja couper le cordon
le reste n'est que littérature
C'est bien tu suis, ( donc tu penses ??) T'as raison mon pote, tu as enfin compris que je souhaite que l'OL (je dis OL et non Lyon qui est une ville respectable) se retrouve en 5° division. Que représente l'OL, à part les intérêts d'un patron d'une société cotée en bourse ?
Signaler RépondreALLEZ LES INSULAIRES
Signaler Répondrevive la Corse
Alors toi quand ça t'arrange tu es corses, marseillais, parisiens, breton, stéphanois, en fait un mélange de contradiction, un lâche quoi !!!!
Signaler RépondreAller l'OL
A moins qu'il ne gagne que grâce à l'arbitre (qui a peur D'Aulas?), sinon ça être super chaud, allez les Corses
Signaler Répondreon vous ment
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