Averti d'un carton jaune, il s'est défendu : "Contrairement à ce que
j'entends, les entreprises bénéficieront en 2014 d'une baisse des
prélèvements obligatoires". Les impôts sur les entreprises baisseront
également "à hauteur de 10 milliards d'euros avec le crédit d'impôt
compétitivité emploi, qui correspond à une baisse de 4% du coût du
travail en 2013, à hauteur de 2 milliards pour des mesures prises l'an
dernier et non-reconduites cette année".
Le ministre du Budget a également précisé qu'il "tendait la main mais
pas la joue" et qu'il lançait un appel "pour passer en France de la
culture de la confrontation à celle du compromis".
Mardi, Pierre Gattaz, président du Medef et Jean-François Roubaud, son
homologue de la CGPME, avaient mené la fronde à Lyon, se plaignant d'une
politique fiscale non adaptée au recrutement de salariés.
Faut 'il croire aux patrons ou au gouvernement....
Signaler Répondreil vaut mieux attacher plus d'importance à ceux qui vivent l'économie sur le terrain plutôt qu'à ceux qui la découvrent du haut de la tour d'ivoire de la Haute Administration en donneur de leçon et d'hypocrisie:tous les mois le gouvernement invente un impôt pour compenser leur résignation à vouloir baisser les dépenses publiques superflues et cherche aujourd'hui se faire pardonner de ne pas avoir assez jouer le compromis avec les employeurs en commençant à comprendre que le salut pour réduire le chômage passe avant tout par l'entreprise et non par des faux emplois financés par les contribuables
Il répond avec le mensonge qui lui a valu son carton jaune :-)
Signaler Répondre