La décision, conforme aux réquisitions, a été prononcée mercredi
après-midi. Ce dernier avait demandé la récusation d'un magistrat
lyonnais en raison de son patronyme à consonance juive.
C'était lors
d'une affaire jugée en octobre 2012. Me Dubruel avait fait cette demande
au prétexte que le nom du juge Albert Lévy sonnait juif et qu'il
pourrait ne pas être impartial dans une affaire où le parent d'une
prévenue se nomme Moïse. "Le papa de la personne (...) se prénomme
Moïse", or "la première page de la notice du mot Moïse sur le site
Wikipédia mentionne que ce mot est selon la tradition, le fondateur de
la religion juive", avait notamment fait remarquer l'avocat pour
expliquer sa demande.
Me Dubruel a désormais un mois pour faire appel.
Ce n'est pas la première fois que le juge
Albert Lévy est visé à cause de son patronyme. En pleine affaire Merah,
Europe 1 avait révélé que le groupuscule islamiste Forsane Alizza avait
envisagé de le kidnapper.
Osez affirmer sans honte que les actions des associations anti-racistes seraient "aimez-vous les uns les autres" relèvent du mensonge et/ou de la manipulation.
Signaler RépondreLes actions de ces associations anti-racistes sont au contraire un prétexte au communautarisme pour une stratégie électorale.
Le résultat de la dernière élection présidentielle éclabousse ce constat.
Mais comme tout totalitarisme, cela finit toujours par se retourner et dans certains cas une issue violente est inéluctable.
Pour le "aimez-vous les uns les autres", je vous conseillerai le Nouveau Testament plutôt que les dites associations "canada-dry".
"Totalitarisme anti-raciste ???"...
Signaler RépondreQuelle manipulation de langage.
S'aimer les uns les autres serait alors une ignoble croyance et non plus une fin en soi ? ....On marche sur la tête.
Le totalitarisme anti-racisme depuis 33 ans a cru bon devoir accéder aux exigences communautaristes pour lutter contre le racisme qu'il a fantasmé pour nourrir des victoires dans les urnes.
Signaler RépondreRésultat logique, ce totalitarisme qui a nourri et nourrit encore grassement quelques élus enfante désormais des demandes communautaires de récusation de magistrats.