Et la CGT a appris que Sun Capital, spécialiste américain de reprise
d'entreprises en difficulté, n'était finalement plus intéressé par Kem
One. Le préfet du Rhône avait pourtant jugé cette offre comme sérieuse.
La décision de Sun Capital n'a pas été confirmée par Kem One car le CCE
doit se poursuivre mardi.
Il reste désormais trois repreneurs dont OpenGate Capital, le syndicat
CGT et l'industriel français Alain de Krassny. Le tribunal de commerce
devra en désigner un seul le 12 décembre prochain.
Kem One, actuellement en redressement judiciaire, emploie 1300 salariés à
Lyon, Saint Fons et à Balan dans l'Ain.