Il a déclaré : "Notre stratégie n'a pas changé : conserver Kem One dans
son intégralité, refuser toute vente à la découpe et assurer une
restructuration où nous ayons un groupe rentable sur la durée, donc
conserver les emplois".
Il a par ailleurs, estimé que les trois offres de reprise sur la table
"apportent des éléments soit en capitalisation, soit en actionnariat,
soit en management, qui sont parfaitement utiles et peut-être
complémentaires".
Dans le Progrès, l'industriel français Alain de Krassny "assure avoir
bouclé son projet de financement, qui repose sur un investissement
estimé à plus de 200 millions d'euros sur une période de trois ans."
Pour rappel, le tribunal de commerce de Lyon doit décider le 12 décembre
du sort du groupe chimique placé en redressement judiciaire. 1 300
personnes sont employées, notamment à Lyon, Saint-Fons et à Balan dans
l'Ain.
Quand Montebourd s’emmêle...
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