Retenu par ses salariés dans les bâtiments de SITL dans le 7e
arrondissement de Lyon, le PDG a finalement cédé à leurs exigences et
leur a fait une garantie écrite concernant leurs salaires du mois de
décembre, amputés de 10 à 20% pour certains.
A noter qu'une réunion avec Alexandre Moulin, commissaire régional au
Redressement Productif s'est tenue ce mercredi avec une délégation.
350 salariés sont actuellement au chômage partiel, et craignaient ne pas
être payés ce mois-ci. Leur avenir dépend de celui du groupe
Fagor-Brandt, car la SITL finance la construction de véhicules
électriques en sous-traitant la fabrication de lave linge pour Fagor.