Entre cinq et douze jours de chômage partiel attendent les salariés de
l'usine de Vénissieux au mois de janvier. La mesure devrait être
renouvelée en février et mars, mais le nombre de jours de chômage
partiel n'a pas encore été déterminé.
Dans la région l'usine de Bourg-en-Bresse est aussi concernée, tout
comme celle de Blainville-sur-Orne dans le Calvados. Seule l'usine de
Limoges, en Haute-Vienne est épargnée mais entre 3500 des 10 000
salariés français devraient être touchés par la mesure.
La direction met en avant la "conjoncture économique", qui touche
particulièrement les entreprises de transport.
Les syndicats, notamment la CFDT parlent d'une situation qui est "le résultat notamment d'erreurs de stratégies commerciales et produits".
Ce n'est pas la première fois que les salariés de Renault Trucks
subissent le chômage partiel, puisque ces mesures avaient déjà été
utilisées en 2009 et fin 2012- début 2013.
Pour info puisque vous beuglez sans savoir Renault ne fabrique plus de bus depuis son rachat par Volvo.
Signaler RépondreRenault Trucks fabrique des camions, pas des bus. Mais on t'en veut pas.
Signaler RépondreEn attendant, tous les bus-TER qui stationnent sur le parking de la Part Dieu sont des Mercedès:
Signaler RépondreIls sont moins chers et techniquement meilleurs.
Vive la politique sociale de la CGT