La SITL est frappée de plein fouet par la crise traversée par Fagor. La
société lyonnaise finançait la construction de véhicules électriques en
sous-traitant la fabrication de lave-linge pour le groupe espagnol qui a
récemment déposé le bilan. Selon le ministère du Redressement
Productif, "ce projet, accompagné par les pouvoirs publics, n’a pas
atteint les résultats escomptés, ce qui explique en partie les
difficultés rencontrées par l’entreprise". Le ministère qui, dans un
communiqué, indique "appuyer, pendant cette période, l’administrateur
judiciaire désigné et apporter son soutien à la recherche de repreneurs
pour tout ou partie des activités." Arnaud Montebourg demande également
au Préfet du Rhône, Jean-François Carenco, de recevoir les
organisations syndicales pour leur faire part des processus en cours et
ouvrir dès à présent une cellule de reclassement par départ volontaire.
La SITL emploie 420 personnes dans l’usine du 7e arrondissement.
C'est drôle nos étudiants boutonneux défilent dans la rue pour sauver LEONARDA ( que tous le monde a oublier car elle ne fait plus le buzz), alors que les mêmes vont bosser jusqu’à 70 ans pour avoir une retraite de misère et là ils ne disent rien.
Signaler RépondreEt encore bosser jusqu’à 70 ans serra un privilège, a une époque ou a 50 ans vous êtes trop vieux aux yeux des employeurs.
Les étudiants sont encore plus stupides que le croyait