Afin de savoir comment les prix vont évoluer, il a comparé le nombre
d'acheteurs et de vendeurs dans une zone.
En 2010, il y avait 3 acheteurs pour un vendeur. Aujourd'hui, il n'en
reste que 0,5 et, dans les grandes villes, 0,8.
Conclusion : les prix
vont reculer partout. C'est à Strasbourg, Nice et Marseille que les
vendeurs ont le moins d'acheteurs - dans cette dernière ville, le recul
sera plus fort (-7 à -10 %).
Selon le site, à Lyon, à taux d'intérêt
stables, les prix devraient baisser de 5 à 7 %, tout comme à Paris. La
situation lyonnaise est donc moins déséquilibrée qu'ailleurs.