Dans un communiqué, la CGPME (Confédération générale du patronat des
petites et moyennes entreprises) proteste : "Des milliers de commerçants
et de TPE/PME sont aujourd'hui pris en otages par un mouvement qui ne
les concerne pas mais dont ils risquent d'être les principales
victimes". Mais surtout, elle réclame "la mise en place d'un plan
d'urgence de livraison pour les 9000 buralistes concernés".
Le centre de dépannage tabac de Mions, comme ceux du Mans et de
Toulouse, était toujours bloqué ce lundi.