Comptant chacune moins de 1000 habitants, Bibos, Pont Trambouze, Sainte
Catherine et Taponas s'opposent à appliquer les réformes à la rentrée
2014.
Les quatre municipalités invoque la difficulté à recruter du personnel
qualifié pour le périscolaire, les problèmes de responsabilités en cas
d'intervention de bénévoles, le surcoût financier, la perturbation des
enfants ou encore l'existence de locaux inadaptés.
Le maire de Sainte-Catherine affirme notamment que ce nouveau rythme
scolaire ne convient pas à certaines communes. Pourtant à la rentrée
prochaine, les maires n'auront pas le choix et devront mettre en
application la nouvelle grille tenant compte de la réforme des 4,5
jours.