Ces derniers se sont stabilisés sur l'ensemble de la France, notamment à
Lyon.
Le loyer d'un studio est passé de 437 euros en 2012 à 442 euros en 2013 ;
un deux-pièces de 547 euros à 544 euros ; un trois-pièces de 665 euros à
698 euros et un quatre-pièces de 808 euros à 795 euros.
Toutefois, les écarts de loyers entre les villes restent importants ; le
loyer d'un trois-pièces à Paris était de 1448 euros contre 710 euros à
Marseille.
Cette enquête de Century 21 montre également que le profil des
locataires a changé ; les jeunes sont moins nombreux et les 40-60 ans
ont délaissé de plus en plus l'accès à la propriété.
Les prix du logement sont au plus haut à l'achat car ces messieurs les professionnels ont la mainmise sur la politique régionale (et nationale) ainsi que sur les médias. Après ça, il est facile de dicter des articles allant tous dans le même sens tout en sachant qu'il sera plus difficile de récupérer son argent pour les institutionnels ou particuliers souhaitant louer une partie de leur patrimoine.
Signaler Répondreet les requins , ils ont un nom :
Signaler Répondreles préteurs des mosquées pour leurs ressortissants avec des taux
au plus bas
A quand une vraie enquête
pas chez Lyon Mag qui a déjà choisi son camp
de fait il ne publie pas ce type de commentaires !!!
C'est sur qu'un studio acheté 150.000 euros frais de notaire inclus donné a la location ça rapporte moins qu'un placement en assurance vie sur des fonds en euros avec zéro risques.
Signaler RépondreEn effet quant vous mettez en location un appartement, entre les charges de copropriété, les frais de gestion, les assurances loyers impayés, les gros travaux, l’impôt foncier, la CSG et le risque de voir votre locataire ne plus payer son loyer,l'obligation de prendre un avocat et un huissier de justice et d'aller devant les tribunaux, l'investissement locatif se transforme vite en cauchemar.
Le plus dramatique c'est que la crise va mètre sur le carreau de nombreux propriétaires endettés, les requins commencent a tourner.