La cour d'appel de Draguignan a été plus sévère que les Assises du
Rhône. En novembre 2012, Régis de Camaret avait été condamné à Lyon à 8
ans de prison et avait alors fait appel.
Ce mardi soir, sonné par le verdict, de Camaret a demandé "pardon" à ses
victimes, après avoir gardé le silence durant tout le procès. Seulement
deux d'entre elles ont pu se porter parties civiles (Karine et Stéphanie), les faits pour les
autres étaient prescrits. Ses anciennes élèves ont célébré le verdict
en se tombant dans les bras.
Pour Régis de Camaret, cette décision de justice sonne la fin de près de 30 ans de silence sur des viols monstrueux survenus dans son club de Saint-Tropez. "Il m'a tout enlevé", résume bien Isabelle Demongeot, celle par qui l'affaire a débuté en 2005.
jeu, set et match...
Signaler RépondreUne fois encore, pensons d'abord aux victimes.
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