Ces deux dernières semaines, une trentaine de municipalités ont donc
avancé sur leur projet en lien avec la réforme sur les rythmes
scolaires.
En revanche 115 communes n'ont pas encore donné de réponse concernant la
mise en place de la semaine de 4 jours et demi.
La première échéance fixée à décembre 2013, a été d'abord repoussée
jusqu'en janvier, puis faute de réponses suffisantes décalés à mi-mai.
Mercredi 12 Février 2014 à 10h44
Rhône : 115 communes ne se sont pas prononcées sur les rythmes scolaires
Alors que le gouvernement compte mettre en place dès la rentrée de septembre les nouveaux emplois du temps, le Rhône ne compte que 158 communes qui ont transmis à l'inspection académique leurs nouveaux horaires de travail.
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Mon commentaires : Monsieur ou Madame,
Signaler RépondrePour répondre à votre question, voici les arguments qui m'ont orientés vers le privé.
".....En Septembre 1989, notre enfant (3ans) avait débuté sa scolarité à l’école laïque J’étais profondément convaincue des bienfaits du miracle éducatif, républicain et je m’en remettais en toute confiance à la très savante pédagogie du corps enseignant. Je dus vite déchantée. Non seulement, notre enfant pataugeait dans une misère culturelle mais personne ne semblait prendre en considération la nécessité de garantir le bien-fondé de cette institution. J’avais en mémoire mes années d’étude de l’école primaire où une certaine rigueur nous enseignait les rudiments du savoir et de la culture. A défaut d’avoir été une élève convaincante, j’avais acquis les bases essentielles qui au demeurant, restèrent immuables toute ma vie. J’adorais l’ambiance de l’école mais Mai 68 avait donné naissance à une nouvelle génération d’Enseignants, d’Elèves et de Parents. En ce temps –là, le respect que l’on vouait aux enseignants n’était pas un vain mot.
La situation devenait critique pour notre enfant. Je dus me résigner à l’inscrire dans une école privée afin qu’elle puisse suivre un second cycle dans de meilleures conditions.
La qualité de l’accueil nous convainquit du bien -fondé de notre démarche. Mais rattraper sept ans de retard n’était pas une affaire gagnée d’avance. Les débuts furent difficiles mais notre enfant se sentait plus à l’aise. Nous nourrissions de profonds espoirs sur son avenir scolaire. Le fait que la plupart des établissements privés étaient sous contrats d’état modifiait la déontologie de son enseignement mais ils semblaient avoir préserver l’essentiel. A la fin du C.M.2., il fallut franchir le pas et choisir un collège. Le choix était difficile mais on m’indiqua l’adresse du Collège et Lycée ........."
Pas de grève, moins de "diversité" quoique les critères financiers font basculer les établissements dans une culture très comptable.
Mais dans le privé comme dans le public, il faut que les parents s'impliquent, respectent les enseignants et s'occupent de leurs enfants
A savoir que les principes religieux ne sont plus vraiment inscrits au tableau d'honneur et que les enfants de toutes confessions y sont accueillis . Business is business!
La République, c'est aussi la liberté de choisir. Et personnellement quand je vois aux sorties des écoles publiques, tout un groupe de parents vêtus comme dans leur pays d'origine et parés de signes ostentatoires, je m’interroge si j’ai encore le choix de vivre en toute liberté dans mon pays.
Je ne fais pas de stigmatisation mais j’aurais aimé qu’on respecte la Laïcité de mon pays et que surtout on enseigne aux Enfants , la Liberté, l’Egalité et la Fraternité.
Et que surtout les enseignant(e)s reviennent les Hussard(e)s de la République. !
Pourquoi les écoles privées sous contrat ( dont les profs sont payés par l'état) ne sont pas obligées comme les autres à repasser à la semaine de 4,5 jours ?
Signaler RépondrePersonne n'a donc anticipé la fuite vers ces écoles et les fermetures de classe que cela va engendrer ?