En cause, les syndicats CGT reprochent l'exil progressif du groupe et
notamment la cession de l'activité photovoltaïque qui devrait se faire
au profit du Breton "SilliaEnergie".
Selon les syndicats, la solidité financière du repreneur mettrait en
péril les perspectives de développement et d'avenir de l'activité.
Depuis plusieurs mois, la CGT du site de Vénissieux mène une résistance
acharnée contre ce qui apparait comme un exil progressif du groupe Bosch
du site de Vénissieux et de la France.
Selon B. Cassin PDG de Sillia "l'activité photovoltaïque ne suscite
guère l'intérêt du secteur bancaire". Les syndicats dénonce un projet de
reprise bancal et revendique que les emplois, les conditions de travail
et de rémunération soient préservées.
Entendues par la direction du groupe Bosch, les revendications ont été
intégrées au projet présenté par Sillia mais les salariés réclament
aujourd'hui une prime de cession. Ils souhaitent également que cette
prime soit intégrée au processus de reprise.
Et qu'en pensent nos politiques régionaux ?
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