Pour constituer son équipe municipale, il fait alors davantage appel à
la société civile et notamment à Richard Brumm, propulsé adjoint aux
Finances et à l’administration générale.
Sarkozyste, amoureux des
belles voitures et notamment des Ferrari, très ami avec Jean-Michel
Aulas (OL) et d'autres puissants patrons, le profil de l’avocat lobbyiste
détonne chez les socialistes.
Mais Richard Brumm va rapidement donner
satisfaction au maire de Lyon. A tel point que son nom est aujourd’hui
avancé pour prendre la succession de Jacky Darne comme vice-président
aux Finances au Grand Lyon. Voire de devenir premier Adjoint de Collomb
en cas de réélection en mars prochain.
Sauf qu’une ambigüité juridique pourrait bien faire capoter les rêves de Métropole de Richard Brumm. Une affaire qui dure depuis plusieurs années et sur laquelle LyonMag s’est penché.
Près de 900 000 euros versés en trois ans
20 décembre 2013, le conseil municipal approuve, entre autres, le versement d’une subvention de 279 300 euros à la SA Olympique Lyonnais pour l’année 2014 (décision validée le 20 janvier dernier). Il s’agit du projet de délibération soumis par la Commission Finances, administration générale, marchés publics, présidée par Richard Brumm. L’adjoint aux Finances fera également office de rapporteur, c’est à dire qu’il instruit et présente le dossier au conseil municipal.
Un an plus tôt, le 17 décembre 2012, ce furent 294 000 euros qui se retrouvèrent versés par la Ville de Lyon à l’Olympique Lyonnais. Richard Brumm fait à nouveau office de rapporteur. Il signera même la délibération à la place de Gérard Collomb.
Enfin, le 19 décembre 2011 (derniers faits pas encore prescrits), le dernier conseil municipal de l’année est l’occasion de voter le versement de 294 000 euros au pensionnaire du stade Gerland. Là encore, Brumm est rapporteur et signe la délibération.
Jusque là, rien d’anormal puisque ces subventions se font dans le cadre de la convention d’objectifs et de moyens entre la Ville de Lyon et la SASP Olympique Lyonnais pour les saisons 2011-2012, 2012-2013 et 2013-2014 que Thierry Braillard, adjoint aux Sports, a fait voter le 19 décembre 2011
Par ailleurs, l’adjoint aux Finances gère l’argent de la Ville et doit pouvoir se prononcer sur son utilisation et sa redistribution.
Sauf qu’il est avéré que Richard Brumm, avec son cabinet dont il est actionnaire fut, entre 2011 et janvier 2013, l’avocat affiché de l’Olympique Lyonnais, notamment en cas de litige avec les sponsors et les annonceurs. Il ne s’en cache pas, de plus LyonMag a en sa possession les preuves de ce qu’il avance.
Ces subventions ont toutefois été votées majoritairement. La seule voix de Richard Brumm ne pouvait faire pencher la balance. Sauf qu’en plus d’avoir voté une subvention pour son client, il a été à chaque fois rapporteur du dossier, président de la commission des finances de la Ville de Lyon (cette dernière doit rendre un avis favorable avant que le dossier n’arrive au CM) et l’élu a même signé les délibérations.
Pour la justice, le fait d’être rapporteur d’une délibération n’est pas anodin, cela caractérise l’exercice d’une influence particulière sur le conseil municipal.
Pouvait-il légalement cumuler ces deux postes ? L’article L2131-11 du code général des collectivités territoriales dispose que "sont illégales les délibérations auxquelles ont pris part un ou plusieurs membres du conseil intéressés à l’affaire qui en a fait l’objet, soit en leur nom personnel, soit comme mandataires". Les élus ont alors l’occasion de se retirer avant le vote, des dizaines d’entre eux le font d’ailleurs car ils siègent au conseil d’administration ou autres… Mais Brumm ne le fit jamais pour l’OL.
Certains ne se gêneront pas pour faire le lien entre les centaines de milliers d’euros versées au club et la supposée rémunération d’honoraires de Me Brumm par l’OL. Au pénal, un tel schéma porte un nom : prise illégale d’intérêts.
Qu’est ce qui a pu pousser un homme de droit si réputé à ne pas se
blinder comme a pu le faire Thierry Braillard ? Le 9 avril 2013,
l’adjoint aux Sports, également inscrit au barreau de Lyon, était pointé
du doigt par Eric Lafond dans un communiqué sur les conflits
d’intérêts. Le candidat centriste aux élections municipales lui
reprochait alors, à tort, d’être l’avocat de l’OL. Thierry Braillard
avait contacté la rédaction de LyonMag pour démentir fermement,
reconnaissant volontiers qu’il défendait les intérêts de l’ancien joueur
lyonnais Sidney Govou mais martelant que ni lui, ni son associée
n’avaient jamais plaidé pour l’OL.
"Je n’ai aucune influence sur le vote des subventions"
Invité
à s’expliquer par la rédaction, Richard Brumm a pris le temps de nous
signifier que l’article L2131-11 ne s’appliquait pas à sa situation.
Dans un dossier très complet réalisé par un collaborateur de l’adjoint
et qu’il nous a remis, il est précisé que "le conseiller municipal
doit avoir un intérêt personnel à l’affaire et d’autre part avoir une
influence effective sur le résultat du vote" pour que la délibération soit jugée illégale.
Dans ce même document, il est également mis en avant que l’élu possédant un intérêt à l’affaire devrait "quitter la salle au moment de la délibération", "de ne pas prendre une part active aux réunions préparatoires à la délibération" et "de ne pas être rapporteur du projet qui va donner lieu à la délibération".
L’adjoint aux Finances a reconnu sans détour défendre occasionnellement l’OL, mais aussi Jean-Michel Aulas et Olivier Ginon. "Je dois même avoir deux ou trois actions du club, admet-il. Mais
je n’ai aucune influence sur le vote des subventions. Etre rapporteur
et président de la commission, ce n’est pas comme si j’allais voir les
fonctionnaires et les élus et que je leur demandais d’augmenter la somme
allouée à l’OL. Ou que je demandais à la Ville d’envoyer des dossiers à
mon cabinet. Aucun de mes clients ne me paye pour faire une action à la
Ville", tempère Richard Brumm.
Pas d’influence, "pas inféodé" ("personne ne me tient dans sa main et en six ans de mandat, je n’ai jamais été approché pour faire pencher la balance"),
Richard Brumm s’est également fendu d’une déclaration préventive et
volontaire d’intérêts que tous les conseillers municipaux ont remplis en
avril 2012. Si elle se trouve sous scellé chez un huissier, l’adjoint
nous a lu une copie de la sienne. Il y jure sur l’honneur n’avoir aucun
intérêt et détaille les professions de ses proches. "J’ai toujours dit à la commission et au conseil municipal que j’étais quelqu’un de transparent", argumente l’homme de droit.
"Je
suis né à Lyon, j’ai grandi à Lyon. Je connais tout le monde. Quand un
dossier arrive sur mon bureau, je connais forcément la personne. Est-ce
que je dois être interdit pour autant de faire de la politique ?", questionne Richard Brumm.
L’élu
est-il dans le déni ? A-t-il perdu ses repères à tel point que, malgré
des éléments factuels, il oublie qu’un homme politique a beaucoup plus
de responsabilité que le commun des mortels ?
Via les arrêts de
Bagneux, la cour de cassation avait confirmé en octobre 2008 que
commettait le délit pénal de prise illégale d’intérêt l’élu qui votait
une subvention à une association dans laquelle il siégeait comme simple
représentant de la commune sans même avoir tiré un centime de
l'opération. Or Richard Brumm reconnaît là percevoir des honoraires de
l’OL…
Portrait : qui est Richard Brumm ?
Richard Brumm est l'exemple même du
transfuge réussi. L'avocat d'affaires, inscrit au barreau depuis 1970, a
mené son entrée en politique (dont il avait rêvé depuis toujours) d'une
main de maître. En 2008, courtisé par son ami Gérard Collomb, il est
élu sur les listes du 7e arrondissement et obtient un poste d'adjoint
aux Finances. Crédules, les forces de gauche se laissent rapidement
convaincre par l'homme qui représente pourtant la droite dans toute sa
splendeur.
Il n'est pas né avec une cuillère en or dans la bouche
mais Richard Brumm a depuis gagné beaucoup d'argent et il continue à en
gagner. Loin d'être hypocrite, il reconnaît volontiers son penchant
sarkozyste. En 2012, il avait même indiqué au Progrès qu'il voterait à
nouveau pour le président sortant : "Avec Nicolas Sarkozy je sais ce que j’ai, alors qu’avec François Hollande, je ne sais pas ce que j’aurai".
Avec
ses amis et ses proches, le flamboyant avocat s'offre sans grande
originalité les vacances type du riche : Megève l'hiver où il possède un
chalet, Saint-Tropez l'été où il retrouve tout le gotha lyonnais. Brumm
est aussi passionné d'art contemporain, de voitures de sport et
notamment de Ferrari.
Des biens matériels qui ne choquent plus
l'équipe socialiste de la mairie. Pourtant le Richard Brumm largement à
l'abri du besoin et le Richard Brumm qui s'occupe de récolter les impôts
des Lyonnais (que le maire sortant prévoit d'augmenter en cas de
réélection en mars) sont la même personne.
Avec sa tignasse
argentée et ses yeux bleus saisissants, sa forte carrure et sa voix qui
porte, Richard Brumm a le potentiel pour pousser des gueulantes
monumentales. Particulièrement calme et affable, l'homme a choisi une
stratégie différente pour instaurer la confiance avec ses
interlocuteurs.
Cela tombe bien, il connaît tout le monde à Lyon. Au
Prisme, club ultra-select pour dirigeants dont il a été le président et
au cercle de l'Union, il s'est créé l'un des réseaux les plus forts de
l'agglomération. Jean-Michel Aulas (Olympique Lyonnais) et d'autres sont devenus des amis, en plus d'être des clients.
Loquace
et habile, Richard Brumm a su convertir le patronat au socialisme utile
de Gérard Collomb. Et d'enfin devenir son plus fidèle atout, à quelques
mois de possiblement rempiler à la Ville de Lyon et à la Métropole.
Encore des socialistes de façade.... Comme Collomb plus préoccupé de copinage que de servir les lyonnais modestes'
Signaler RépondreUn collectif d'une seule personne, ça sent l'arnaque aussi.
Signaler RépondreEt voilà encore et encore la socialie morale pris la main dans le pot de confiture !
Signaler RépondreLa femme de Manuel Valls à nouveau prise en flagrant délit de passe-droit
http://www.lepoint.fr/politique/la-femme-de-manuel-valls-prise-en-flagrant-delit-de-passe-droit-19-03-2014-1802940_20.php
Quelle honte que ce stratagème que les juges laissent perdurer.
Signaler RépondreIl est vrai que c'est plus excitant d'écouter des conversations privées pour ces juges que de sanctionner avec la plus grande sévérité des organisations mafieuses dans toutes les strates de l'administration publique.
Et avec tout cela, il y en a qui s'invectivent pour savoir pour qui voter.
Signaler RépondreLa liste des magouilles politicardes et des valeurs morales qui touchent les élus serait trop longue à dresser.
Signaler RépondreComme l'astuce qui consiste à faire financer des campagnes électorales par l'écrêtement dont le principe même est déjà un racket légalisé.
Il est de coutume pour les bénéficiaires de l'écrêtement de faire un don du montant de leurs écrêtement à une association du parti qui s'occupe des finances de la campagne électorale.
Soit in fine, un financement public transformé en dons privés ce stratagème.
Ajoutons la déduction fiscale de 66 % aux donateurs sur ses revenus imposables alors que le don provient à la source de l'écrêtement et donc non imposable.
Tout le monde y trouve son compte, les partis, les élus et les écrêtés, sauf les contribuables qui se voient ainsi spoliés de plusieurs milliards d'euros publics d'impôts sur tout le territoire national depuis des années.
Un tel montage financier dans le privé entraînerait les auteurs devant les tribunaux sauf dans le cas présent.
Alors, elle est pas belle la vie !
Il est avocat de l'OL, donc payé par l'OL lors de ses prestations, c'est un fournisseur de l'OL, il ne peut mécontenter ses clients, sous peine de les perdre.Il ne peut donc cumuler les deux fonctions, quel que soit le résultat du vote. Il y a bien conflit d'intérêt, il ne" devait pas profiter de sa situation d'élu pour voter cette subvention à son client. La justice devrait faire son boulot, mais toucher à Aulas et ses potes, n'est pas dans l'habitude des tribunaux lyonnais, c'est ainsi dans notre "modèle lyonnais" foi de Collomb!
Signaler Répondre+1
Signaler Répondre48 h d'agitation comme pour toutes les autres affaires qui concernent des élus de tous bords.
Signaler RépondreLes 23 et 30 mars restez chez vous !!!
Quand plus personne ne se déplacera pour voter un blanc-seing à des élus dont in fine la seule ambition est de piller l'argent public, le système évoluera.
A croire que cette chanson a été spécialement écrite au financier sarkolombophile !
Signaler Répondreprendre des forces au marché gare
Signaler RépondrePlus c'est gros plus ça passe.
Signaler Répondreque sont ces magouilles encore
Signaler RépondreIl cherche ce qu'il va bien pouvoir trouver sur la droite.
Signaler RépondreIl va nous ressortir NOIR, CHABERT, CARIGNON....mais rien sur HAVARD
Allez, encore une affaire révélée... Cette fois, cela concerne Larose, promoteur de la Confluence et grand ami de Collombssss. Évidemment, le maire l'a lâché depuis... On maintien le rythme de une par jour, peut faire mieux quand on connaît un peu les rouages du système Collombsssss
Signaler RépondreAlors Bobard,on ne t'entend plus....bizarre !!!!
Signaler RépondreToi, on sent que tu aimerais en croquer si ce n'est déjà fait.
Signaler Répondrele classement par les bobo journaleux de l'express, on s'en balance, eux ils font comme les élus, ils font des ronds de jambes pour que les parlementaires leur conservent leurs niches fiscales
Signaler RépondreDe quoi parle-t-on ? Chaque contribuable pouvant justifier d'une activité de journalisme a le droit de bénéficier d'une "modalité de calcul de l'impôt" particulière, baptisée "allocation pour frais d'emploi". Elle permet de retirer à son revenu brut fiscal (l'ensemble de ses revenus annuels, qui sert de base au calcul de l'impôt) la somme de 7 650 euros. Le calcul de l'impôt est donc diminué d'autant, ce qui procure un avantage non négligeable.
Exemple : un journaliste gagne 2 000 euros par mois, soit 26 000 euros par an (avec un 13e mois). Au moment de déclarer ses impôts, il décompte 7 650 euros. Il est donc imposable sur 18 350 euros. Selon le simulateur officiel, un célibataire sans enfants gagnant 26 000 euros payerait 1 937 euros d'impôts. Un journaliste au même salaire ne paiera que 973 euros.
bon tout va bien alors ? on continue comme ça.
Signaler Répondreavocat et actionnaire d'une société pour laquelle il est le rapporteur qui pilote des subentions (900.000 euros sur les trois dernières années)
Signaler Répondreet ensuite il peut prodiguer ses conseils d'avocat à cette société, sans crainte de ne pas avoir de problèmes pour encaisser ses honoraires,
et à terme pouvoir encaisser de jolis dividendes ...
et en plus, il va vous dire que c'est normal, que tout le monde le fait ou je ne sais quoi ..
ce qu'on demande à un élu à qui on a fait confiance en lui donnant sa voix dans l'urne, c'est qu'il soit intègre, et l'intégrité n'est pas un vain mot et impose quelques règles fondamentales, sur lesquelles les "frères" lyonnais (qui sont francs comme un arracheur de dents) posent leurs grosses f.esses allègrement
Avocat et actionnaire !!!! La moindre des choses aurait été de s'abstenir. "Juste un conflit d'intérêt" : les petits arrangements ou les affaires sont tellement ancrés dans le système Collombsss que vous le banalisez. Perdu un peu le sens du bien et du mal
Signaler RépondreQuelle fraude, si c'est pas Mr Brumm qui fait voté les subvention et bien ce sera un autre, de toute façon le montant sera le même puisqu'il est fixé par la ville pour les différents clubs. Regarder l'histoire avec le PSG.
Signaler RépondreEn fait le vrai problème c'est qu'il soit avocat de l'OL mais s'il n'y a pas de malversations entre lui et l'OL ce qui semble être le cas tout de même car si on résume, cette polémique met juste en avant le conflit d'intérêt et rien d'autres. Donc on s'en fou !!!
Point barre
Non mais si on s'arrête à chaque minuscule affaire. On avance plus.
Signaler RépondreJe comprends pourquoi la France est à la traine et c'est pas demain que ça va évolué. Et puis il y a affaire et affaire. Là le sujet c'est juste pour amuser la gallerie. RiPitoyable français moyen s'exclamant de tout et n'importe quoi!!!!!!!
Tout le monde savait, la preuve :
Signaler Répondrehttp://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon/Politique/Ville-de-lyon/Conflits-d-interets-a-la-sauce-lyonnaise
Mais tout le monde s'en moque, le preuve, ils sont toujours en poste.
Richard Brumm serait un bien meilleur interprète que Jacques Dutronc pour chanter la chanson l'opportuniste, lisez :
Signaler RépondreJe suis pour le communisme
Je suis pour le socialisme
Et pour le capitalisme
Parce que je suis opportuniste
Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu´un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté
Je n´ai pas peur des profiteurs
Ni même des agitateurs
J´fais confiance aux électeurs
Et j´en profite pour faire mon beurre
Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu´un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté
Je suis de tous les partis
Je suis de toutes les partys
Je suis de toutes les cauteries
Je suis le roi des convertis
Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu´un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté
Je crie vive la révolution
Je crie vive les institutions
Je crie vive les manifestations
Je crie vive la collaboration
Non jamais je ne conteste
Ni revendique ni ne proteste
Je ne sais faire qu´un seul geste
Celui de retourner ma veste, de retourner ma veste
Toujours du bon côté
Je l´ai tellement retournée
Qu´ell´ craqu´ de tous côtés
A la prochain´ révolution
Je retourn´ mon pantalon
A coup de milliers d'euros mensuels d'argent public + les extras d'argent public toujours + les sollicitudes du privé (argent et invitations en tous genres) sans justifier mes compétences au quotidien, moi aussi je suis prêt à dire comme Michel Bobard que Gérard Collomb est le meilleur des meilleurs sans même être socialiste.
Signaler RépondreMichel Bobard et sa logorrhée habituelle.
Signaler Répondre"L'équipe municipale fraude mais ça ne concerne pas Gérard Collomb" ou variante 1, "ça ne vous regarde pas" ou la variante 2 "on fraude mais l'UMP fraude encore plus".
Et quand notre Michel Bobard est bien surexcité à l'idée de renouveler ses indemnités publiques, on a droit aux 3 variantes en même temps.
C'est beau la politique !
Vu comme ça, effectivement, il n'y a plus d'affaires nulle part en France.
Signaler RépondreAvec votre point de vue, les puissants peuvent donc nous tondre et nous saigner comme bon leur semble.
Non mais d'accord mais en quoi ça nous regarde, et en qui ça regarde notre maire (des proches de Gérard Collomb) le milieu de la politique est petit. Compare ça à Anigo où ses proches étaient de la mafia. Mais est ce que Collomb a vendu des brevets non.
Signaler RépondreEt pour le 2ème qu'est ce qui est choquant, qu'il ait des actions, signifie d'abord qu'il participe au financement de la recherche pour cette société. Il est le président du groupe d'études et bien tant mieux comme ça lui sait à quoi sert son fric. S'il trouve le vaccin il est riche et quoi ce serait un problème. Il aura rendu service au moins. Et puis il en a pour combien d'actions (5000€, ou plutôt 100.000€).Donc riche même pas forcément. Mais en quoi cela concerne Collomb. Cahuzac était bien proche de Hollande (même gouvernement) les comptes en Suisse, il était au courant ou non.
En fait on s'en fiche comme cette histoire avec Brumm? Et pour info ce n'est pas lui qui verse les subventions mais le CM qui les a voté. Les sommes sont régulières chaque année et même en baisse sur le dernier exercice. Et d'où vient cet argent, du budget alloué par la mairie de Lyon aux différents clubs de sports du grand Lyon. Qu'il soit donc l'avocat de l'OL ne me dérange absolument pas tant qu'il n'y a pas de malversations.
Si il n'y a que ça à sortir, il n'y a pas de quoi trembler franchement !!!!
Tout le monde sait aussi que depuis 2004, deux élus proches de Gérard Collomb ont vendu pour plusieurs centaines de milliers d'euros un supposé brevet qui n'a jamais existé et dont les recherches liées au supposé brevet ne leurs appartenaient pas complètement.
Signaler RépondreComment peut-on vendre au vu de tous pour plusieurs centaines de milliers d'euros un brevet qui n'a jamais existé sans attiser la curiosité de la justice ?
http://assignments.uspto.gov/assignments/q?db=pat&reel=13147&frame=46
Tout le monde sait encore que l'association du 1er adjoint de Gérard Collomb possède (encore ?) ou a possédé des actions chez Mymetcis, société privée cherchant à se positionner pour être “candidat-vaccin” contre le sida, tandis que le député se trouve être lui-même, au sein de l’assemblée nationale, président du groupe d’études sur le sida.
Page 21 : https://usgene.sequencebase.com/patents/US20030157063
http://www.sec.gov/Archives/edgar/data/927761/0000950152-05-003197.txt
Etc... etc... tout le monde le sait mais tout le monde s'en fout sauf dès fois quand arrive des échéances électorales.
ce que je comprends pas, c'est que ça fait plusieurs années que ça dure et on semble découvrir aujourd'hui
Signaler RépondreLyonMag va encore se faire des amis!
Signaler Répondreles socialistes n'ont que le nom
Signaler Répondreils sont tous capitalistes
la preuve ? ils ont des comptes (tous !) dans les paradis fiscaux
les yeux dans les yeux
Le vote sanction c'est maintenant !
Signaler Répondreah pour un scandale, ça c'est un scandale
Signaler RépondreOui et pourquoi pas le parcours professionnel et les rémunérations de sa femme aussi pendant qu'on y est !
Signaler RépondreDémission !
Signaler RépondreDémission !
Démission !
La presse nationale commence à s'emparer de la vie politique lyonnaise :
Signaler Répondrehttp://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/municipales-a-lyon-l-affaire-brumm-ol-fait-elle-trembler-gerard-collomb_1495496.html
Collomb et ses sbires, vont-il nous faire une sortie à la Ianoukovitch ou à la Ben Ali ?
Il a des corones mr fenech ! Il a mis un coup de pied dans la fourmilière ! Mais attention au retour de manivelle !! C'est passionnant cette histoire. A suivre donc...
Signaler Répondremdr
Signaler Répondrehein... !!! Quoi !!!
Signaler RépondreDes conflits d'intérêts à Lyon ?
N'importe quoi !!!
Jamais vu une équipe municipale aussi irréprochable !
Et pourquoi pas Jean-Louis Touraine et son association pendant qu'on y est !
Soyons sérieux !
Surtout, le Progrès va mal financièrement et ne peut pas se passer de la pub et des annonces légales du Grand Lyon. Cela avait déjà été le sujet pour les obliger à transférer leur siège de Chassieux à Lyon 3ieme puis à Confluence. Collombsss sait être très persuasif avec les entreprises mais sait renvoyer l'ascenseur... Cf post de bobard-Michel
Signaler Répondreça vous étonne ?
Signaler RépondreConflit d'intérêts les concernant également
puisque le PROGRES appartient au CREDIT MUTUEL,
laquelle banque a financé le stade sous condition de garantie d'emprunt par les contribuables ....
Je vois que le progres jjournal inféodé a gégé ne fait cas de se détournement.
Signaler RépondreRendons la justice nous même, sans haine mais avec détermination, les 23 et 30 mars.
Signaler RépondreCe Bobard nous les brise depuis le début de la campagne c'est un fait. Il est sur que ce problème aurait pu sortir avant,mais nul ne conteste que Monsieur Aulas est client de Monsieur Brumm,et que ce dernier propose des subventions publiques pour son club prive en tant que Président de la commission finances , sachant que de plus il assiste à ces délibérations et les vote s'abstenant de sortir de l'hémicycle ce qui est contraire à la règle . Ce genre de procédés tombe sous le coup de la "prise illégale d'intérêt qui se traduit généralement devant un tribunal administratif par une condamnation pecuniere,de la prison avec sursis et surtout une bonne sanction d'inegibilite....ce qui devient très gênant pour briguer un mandat en 2014 avec Monsieur Collomb Mais je suppose que les Frères veillent...et sauront mettre le couvercle sur la marmite,comme pour le permis de construire du Métropole ,annulé par la justice,sans que quiquonque semble s'en émouvoir !! ce doit être ça la solidarité .
Signaler Répondreouh la la, ça sent le scandale qui arrive, ça sent pas bon
Signaler RépondrePourquoi vous ne citez pas Collomb, Braillard et d'autres personnalités du PS, qui apparaissent dans cet article?
Signaler Répondrehttp://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon/Politique/Ville-de-lyon/Conflits-d-interets-a-la-sauce-lyonnaise
et dans le lien, n'oublie pas de lire les commentaires, ça te donnera une idée de la réalité
Signaler Répondrela réalité des journaleux ? les faux-jetons serviles qui font du business sur ce qui fait du buzz, sans aucune investigation sérieuse, on connait la mécanique !
Heureusement, au niveau local, on n'a pas que le Progrès et ses manchettes COLLOMB-AULAS (ou grêle, ça sert à la meme chose anatomiquement : le transit)
étonnant l'article de Lyon mag ! ressortir une information de Lyon Capitale dit à 4 ans quand les municipales approche, aura ton le droit d'avoir celles Havard, Collomb, Hamelin sortie par Lyon Capitale concernent les conflits d’intérêts
Signaler Répondre