Un peu plus d'un an après sa création, l'atelier met la clé sous la porte.
En fin d'année, la présidente fondatrice avait tenté de réunir
500 000 euros par le biais d'investisseurs et d'une plate-forme de
financement participatif, selon le Progrès. Aucune de trois banques
qu'elle avait sollicité n'a voulu suivre.
L'atelier de
fabrication de lingerie haut de gamme, qui employait une trentaine de
personnes, travaillait notamment pour Agnes B. et Maison Lejaby.
La liquidation de la société coopérative d'intérêt collectif
pourrait être prononcée ce vendredi, à 9h30, pendant le rendez-vous au
tribunal de commerce.
"Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour aider mon personnel à retrouver un emploi", affirme Muriel Pernin au Progrès. Un dernier combat à mener, en somme, pour les Atelières.
Pourquoi accuser les banquiers et non les deux principaux dirigeants de cette aventure ?
Signaler RépondreCe qui est dramatique c'est que cette belle histoire se termine mal.
En espérant que ces ouvrières compétentes et qualifiées puissent rebondir rapidement.
Dommage, c'était une belle histoire. La frilosité des banquiers est honteuse et l'on devrait légiférer dans ce domaine, car elle est la source de très nombreuses pertes d'emploi. Les banques sont renflouées par l'état sans aucune contre partie et elles en profitent avec mépris.
Signaler RépondreElles n'ont qu'à jouer au foot. Pour le foot, 10 banques ont prêté près de 300M€ à Aulas,même la CDC a mis au pot, le foot est d'intérêt général, le CG a garanti pour 40M€ les obligations de Vinci. Trouver 500000€ pour que des personnes continuent à travailler dignement est impossible, le foot créerait des emplois, pas la confection. Collomb a tout fait pour Aulas, qu'à -t-il fait pour les Atelières? Drôle de monde, un monde socialiste?
Signaler RépondreBruxelles lui a dit "il n'y a plus de souveraineté nationale" donc il passe son temps en voyage et sur les plateaux télés.
Signaler RépondreQue fait notre ministre made infrance?
Signaler RépondreLes banquiers préfèrent financer des appartements a crédit avec 1/3 d'apport, et une hypothèque sur le bien immobilier, le risque est quasi nul pour le banquier.
Signaler RépondreGérer c'est prévoir.
Signaler RépondreIl est tant de retrouver nos frontières ! Avec une tva quasi nulle pour le made in France et modulée suivant les produits importés, la France aurait résolu ou réduit un certain nombre de problèmes. Entre-autres : chômage, pauvreté, précarité, pollution environnementale liée au transport. Allez un peu de courage M. Montebourg !
Signaler RépondreIl y a 20 ans les salariés des chaussures Bailly implantées à Villeurbanne, ont vécus la même histoire et sort !
Signaler RépondreA l'époque la vente du stock devais permettre le démarrage d'une scoop. Un syndicat menait la danse...
Des salariés sont partis en formation durant des mois.
Pour finir, l'argent manquait.
Je croise les doigts pour que les Ateliéres, retrouvent rapidement des emplois.