Si cette dernière, dont la création est intervenue en 1958, a pour
objectif d'aider financièrement les demandeurs d'emploi et de les
encourager à trouver un nouveau travail, les comptes de l'Unedic qui
gèrent sa distribution sont au plus mal d'où la nécessité d'une
renégociation.
Parmi les principaux changements de règle concernant 2,2 millions de
chômeurs : la mise en place des droits "rechargeables" permettant aux
demandeurs d'emploi de conserver l'ensemble de leurs droits à
indemnisation, notamment en cas de reprise d'emploi alors que ce n'était
pas le cas avant ou encore une période de carence plus longue pour les
cadres ayant touché un gros chèque d'indemnités de départ (180 jours au
lieu de 75 actuellement).
Enfin, le régime spécifique des intermittents du spectacle, qui était
menacé de suppression, est finalement conservé mais durci ; les
allocations seront désormais plafonnées à 5475 euros bruts par an.
Le texte doit maintenant être consulté par les instances dirigeantes des
syndicats. Il devra également recevoir un agrément de l'État avant une
application normalement prévue à partir du 1er juillet.
Avec la gauche c'est tout pour les fonctionnaires et les fainéants et ce sont les travailleurs du privé qui trinquent et nourrissent les flemmards.
Signaler RépondreMais la droite pendant ces 10 dernieres années au pouvoir a tel fait quelque chose.....
Signaler Répondrepourquoi il y a deux sortes de salariés en France ?
Signaler Répondre- ceux du public à qui le privé assure la garantie de l'emploi
et qui ne contribuent donc pas
- ceux qui ont le risque de perdre leur emploi et qui en plus paient la sécurité de l'emploi à ceux qui n'ont pas de risque, et sachant que ce sont ceux ci qui pourtant présente trois fois plus d'absentéisme que les autres, et pourtant leur absentéisme, non justifié, est finalement payé par l'impot payé par le privé
C'est cela la solidarité de la gauche et comme tous les élus sont des fonctionnaires, ou presque, on comprend pourquoi ils soutiennent les intermittants dans leurs revendications ....
RAPPELONS tout de même que les fonctionnaires feraient du bénévolat si le privé n'était pas là pour créer des richesses ...
et non l'inverse
Enfin, le régime spécifique des intermittents du spectacle, qui était menacé de suppression, est finalement conservé mais durci ; les allocations seront désormais plafonnées à 5475 euros bruts par mois.
Signaler Répondre=> C'est pas plutôt par an ?