"Difficile" et "insolent", Stéphane Bern raconte son enfance très stricte

L'ami des têtes couronnées, n'a pas toujours été l'homme calme que l'on connaît aujourd'hui. Le Lyonnais, invité ce mercredi soir de la Parenthèse inattendue sur France 2, s'est livré face aux questions de Frédéric Lopez. Il a raconté, son enfance "à la prussienne", élevé par des parents qui ne lui ont fait aucun cadeau sur son éducation. Parmi les exemples donnés par Stéphane Bern : "On ne parle pas à table avant qu'on nous adresse la parole, on ne répond pas à ses parents". D'autant qu'il était, selon ses dires, "très insolent. Je voyais tout de suite ce qui allait énerver. Je n'avais pas besoin de parler, je fais une petite moue ironique et on avait envie de me gifler... Ce que mes parents ont fait, surtout ma mère je dois dire".
Mais pas question pour lui de blâmer ses parents, Stéphane Bern avoue lui-même qu'il était "difficile". "Je n'obéissais pas, je ne faisais jamais mes devoir convenablement...", explique-t-il. Et c'est avec émotion, que le présentateur vedette de France 2 raconte les rapports affectifs qu'il entretenait avec ses parents. "On attendait de moi que je sois un bon petit soldat. C'est dur à dire, mais les câlins que l'on recevait de nos parents étaient indexés sur la manière dont on se comportait. Si j'avais été un bon petit garçon, j'avais le droit d'aller dans les bras de ma mère, sinon on me tenait à distance". Une discipline de fer donc d'autant que dans cette famille "tout se méritait. Tous les jours, on nous notait notre conduite et l'argent de poche était indexé sur les notes de conduite. Moi, je devais de l'argent à mes parents", conclut Stéphane Bern en plaisantant.
La Parenthèse inattendue est à voir ce mercredi soir à 22h25 sur France 2. A noter que Stéphane Bern sera accompagné d'une autre Lyonnaise, Sylvie Testud.