Les pièces proposées seront en lien avec les évènements qui auront lieu
à Lyon au même moment notamment que la 16e Biennale de la Danse du 10
au 30 septembre prochain.
Cette année encore la Maison de la Danse s'est parée des plus grands
chorégraphes. En tête d'affiche, Benjamin Millepied, le Lyonnais marié à
Nathalie Portman, présentera son dernier ballet LA Dance Project, en
première mondiale avant sa prise de fonction à l'Opéra de Paris. Les
spectacles de Dada Masilo, "Carmen" ou encore le "Lac des Cygnes",
mêlant danse classique et pas africains seront présentés dans le cadre
d'une série de "Portraits de femmes".
D'autres spectacles à thèmes et de
genres différents seront à l'affiche : Thierry Malandain avec
"Cendrillon", la vie de Camille Claudel "hanté par la solitude et la
folie", ballet d'Eifman Ballet. Mourad Merzouki, un habitué de la maison
de la Danse présentera son "Pixel" en janvier 2015. Les chorégraphes
femmes sont également mises à l'honneur pour cette 35e édition où l'on
retrouvera le spectacle "Barbe Neige et les Sept petits cochons" de
Laura Scozzi, "Le Miroir de Jade", une création de Sandrine Bonnaire ou
encore la chorégraphe andalouse Blanca Li avec "Robot".
Une programmation riche en diversité impulsée par Dominique Hervieu,
directrice artistique de la Biennale de la Danse et de la Maison de la
Danse, qui souhaite "offrir la diversité des goûts".
L'année dernière plus de 170 000 spectateurs et plus de 12 000 abonnés
sont venus admirer les représentations des plus grands chorégraphes
internationaux.
L'institution, actuellement dans le 8e arrondissement de Lyon, pourrait
déménager dans le quartier de la Confluence d'ici 2020. Cela permettrait
de disposer d'une plus grande salle et d'une plus grande scène pour
accueillir tous les spectacles "y compris ceux de l'Opéra de Paris ou de
Tokyo" souligne Dominique Hervieu.
Cette maison de la danse n'a qu'à être détruite. Comme ça peut être que les contribuables lyonnais feront des économies.
Signaler RépondreMaintenant ça suffit toutes ces dépenses inutiles, mare de mare de payer pour tout et n'importe quoi ...
Ah le retour des économistes en herbe..
Signaler RépondreCela faisait longtemps
Alors d'une sans rentrer dans le débat (faut-il investir davantage en période de crise ou non) on parle techniquement de récession lorsqu'il y a 3 trimestres dans le négatif.
Sous Sarkozy on l'a été 4x d'affilée dans le rouge (2ème trimestre 2008, 3ème trimestre 2008, 4ème trimestre 2008, 1er trimestre 2009)
INSEE.
Sous Hollande j'aurais tellement aimé vous faire plaisir et bien non, on l'a été que 2 fois (4ème trimestre 2012, 1er trimestre 2013)
Ce n'est pas moi qui le dit mais l'INSEE...
http://www.insee.fr/fr/themes/indicateur.asp?id=26&numpage=1&nombre=20
De deux, la maison de la danse était que je sache au départ dans le 4ème, donc ce n'est pas la première fois qu'elle voyage.
Confluence est le meilleur compromis en termes de foncier disponible et de desserte (5 minutes de la gare perrache, 15 minutes de la part dieu)
On ne peut pas se prévaloir d'être une ville qui compte en Europe dans le milieu de la danse et se contentait d'une infra qui a été faite pour le thêatre et non pour la danse.
L'erreur sera réparée.
En période de récession c'est normal de vouloir déplacer la maison de la danse...
Signaler RépondreA force de vider le 8ème arrondissement on va pouvoir le sortir de Lyon ! Ah non ! C'est un des arrondissements les plus peuplé et donc qui rapporte de l'argent en impôts !
Les impôts ? Voilà la solution ! On va les augmenter encore une fois pour payer ce projet à 100 millions d'euros et bien d'autres projets qui n'apportent rien de vital au lyonnais (alors qu'il y a de quoi faire...) !
Inutile de vouloir tout mettre à Confluence pour masquer l'échec de ce quartier monsieur le maire !