Cette décision a été prise par le tribunal administratif de Lyon, en
raison de l'absence de validation par la Commission Européenne du
système d'aides, présenté par le Centre National du Cinéma. La Région
accorde chaque année 2 millions d'euros à la structure, basée à
Villeurbanne.
"Cette décision de justice menace la pérennité de Rhône-Alpes Cinéma
dans son statut de co-producteur, a déclaré Jean-Jack Queyranne,
président du conseil régional, dans un communiqué publié ce mardi. Plus
généralement, elle met en péril tout le système d'aides des régions au
cinéma français. La production cinématographique française a ainsi pu se
maintenir alors qu'elle connaissait un véritable effondrement dans les
autres pays européens."
Par ailleurs, Jean-Jack Queyranne tacle Étienne Tête et les élus du
groupe EELV qu'il dit avoir "maintes fois mis en garde contre les
menaces que faisaient planer un recours".
A ce jour, 220 films ont été réalisés en Rhône-Alpes. A noter que deux
films produits par Rhône-Alpes Cinéma seront présentés au Festival de
Cannes cette année, dont Géronimo de Tony Gatlif, en sélection
officielle.
Si ces subventions sont utilisées pour faire de bons et beaux films, et pas des outils de propagande, ok.
Signaler RépondreSinon, la Kommandantur de l´Union Européenne a bien fait de s´y opposer.
d'autant que ces subventions s'ajoutent aux avantages gargantuesques que les intermittents du spectacle encaissent sur le dos des véritables chômeurs
Signaler Répondreil ne faut pas oublier que ça crée pas mal d'emplois et beaucoup de dépenses en région (hotels, restaurants, fournisseurs divers du cinema...)
Signaler RépondreMoi je suis ok pour cette dépense
Signaler RépondreMerci pour nous les petits contribuables, peut être allons nous faire quelques économies sur nos impôts locaux...
Signaler Répondre