Le 31 mars dernier, date de la fin de la trêve hivernale, les bailleurs
avaient la possibilité de procéder à des expulsions.
Une manoeuvre
qu'avait formellement interdit la maire communiste de Vénissieux, avec
trois arrêtés empêchant ce type d'expulsion et interdisant les coupures
d'énergies et les saisies mobilières, "pour les personnes les plus en
difficulté et en fragilité pécuniaire, notamment les personnes âgées,
retraitées, au chômage ou encore les familles monoparentales".
Mais le
préfet est alors monté au créneau et avait saisi le tribunal
administratif. Jean-François Carenco a donc obtenu gain de cause.
"La machine infernale de l'exclusion peut de nouveau tourner à plein
régime. Face à l'urgence sociale, Michel Picard poursuivra ses actions
de résistance contre ces pratiques inhumaines, injustifiables et
intolérables au pays des Droits de l'homme", s'insurge la mairie de
Vénissieux dans un communiqué.
VENISSIEUX mérite MIEUX
Signaler Répondrevivement que Mr Carenco s en aille et qu il se retrouve sans son mentor Mr Queyranne
Signaler Répondreles cocos n'ont vraiment que le desepoire des pauvres gens comme aliment !!!!
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