Ils ont obtenu mardi leur libération conditionnelle. Pascal Fauret,
Bruno Odos, ainsi que l'assistant de vol et le passager de l'avion
seront tout de même jugés avant mars 2016. Une demi-victoire seulement
pour les familles des détenus, puisqu'ils ont l'interdiction de quitter
le territoire, la juge n'ayant pas souhaité les innocenter.
Dans un communiqué, Philippe Heneman, président de l'association de soutien aux deux pilotes a salué "cette grande nouvelle et ce grand soulagement. Ils vont pouvoir préparer leur défense d'une manière plus approfondie et structurée grâce aux échanges rendus possibles avec leurs avocats".
Interpellés en mars 2013 avec 700 kilos de cocaïne à bord de leur avion,
ils ont toujours affirmé ne pas avoir su ce qu'ils transportaient.
Combien on payer la France il y'a une fuite qui le prouve
Signaler Répondre