C'est ce que découvriront une nouvelle fois les Lyonnais entre la place
des Terreaux et la place Bellecour, le dimanche 14 septembre prochain à
partir de 14h, à l'occasion de la Biennale de la Danse. Il se tiendra
sur le thème "Happy Birthday Mister Défilé" pour fêter son 10e
anniversaire. Une quinzaine de spectacles sont programmés. L'ouverture
du défilé se fera sur des airs brésiliens avec un char "Made in Rio" et
Sambasax, un grand orchestre de saxophones avec une Bateria de
percussions brésiliennes.
Cette année les 4 500 danseurs viennent du Grand Lyon, de la région
Rhône-Alpes et du Grand Genève. De nombreux chorégraphes professionnels
seront présents : la troupe de la chorégraphe brésilienne, Carla Frison,
déambulera dans les rues sur des airs de samba et de danse brésilienne,
Delphine Caron et Aurélien Kairo et Karla Pollux présenteront des
chorégraphies de danse hip-hop. Mourad Merzouki reviendra avec un défilé
sur le thème "les Lumières 2 la ville". Merlin Nyakam et ses danseurs
feront découvrir au public l'ambiance carnaval avec le thème "Chavari...
vers une nouvelle ère". La région du Grand Genève sera représentée par
Bouba Landrille Tchouda et ses 390 défilants et la région de
Saint-Etienne par Souhail Marchiche qui regroupera 300 jeunes avec une
musique inspirée des cultures afro-américaines. Une chorale de 90
chanteurs accompagnera les 350 danseurs du spectacle de Fred Bendongué.
Un défilé qui s'ouvre également à l'international avec la participation
de 400 danseurs venant tout droit de Turin en Italie.
Pour clôturer le défilé, la traditionnelle danse collective, la Samba
Tarentelle se tiendra place Bellecour ainsi qu'une représentation de
Dada Masilo "Swan Lake à 40" par les élèves du conservatoire de Lyon.
"Lyon, capitale de la culture pour tous" confie Philip Alloncle, préfet
délégué pour l'égalité des chances. En effet, ce défilé est un temps
fort dans la saison de la Biennale de la Danse. C'est aussi un moment de
"partage", de "vivre ensemble", et de "solidarité entre les communes et
les territoires", comme s'accordent à le dire élus et organisateurs.
Une
après-midi festive qui permettra aux amateurs et professionnels de
partager un moment artistique et de se rassembler autour de la culture :
"c'est une communauté qui se créé autour du défilé", souligne Philip
Alloncle.
Oui, sauf que quand on participe à un défi artistique collectif...c'est quand même mieux d'être vu !
Signaler RépondreC'est ça qui a du sens...faire partager son engagement de bénévole ou amateur (ici danseur).
Quoi dire de plus...votre propos est tellement contradictoire.
Ah oui, à propos du mot "courtisan", référez-vous au dictionnaire !
Qu'est-ce que ça peut être nul ce truc !!
Signaler RépondreLa seule chose positive dans ce truc.
C'est l'implication des bénévoles.
Le reste, ça n'a pas de sens.
Les badauds, me font penser aux courtisant de Ubu roi...